Trop de stress, pas assez d’énergie ? Il existe une solution

Trop de stress, pas assez d’énergie ? Il existe une solution

Retrouver de l’énergie quand on est stressée : oui, c’est possible (et sans avaler un bol de clous)

par Christophe Grégoire, rédacteur web pour Mademoiselle S’Aime


Tu vois cette sensation de tête vide dès le réveil ? Ce moment où tu regardes ta tasse de café comme si elle allait te murmurer une solution miracle ? Pas de panique : si tu cherches comment retrouver de l’énergie quand tu es stressée, tu es pile au bon endroit — et, non, pas besoin d’aller faire du yoga sur un rocher face à l’océan à 4 h du matin.

Il y a des jours où même respirer semble épuisant. Tu tiens debout, certes, mais surtout par habitude. Ce n’est pas de la fatigue comme après un bon footing (si tu cours encore, tu as toute notre admiration), c’est une fatigue émotionnelle, celle qui colle à la peau, qui serre les épaules, et qui te donne envie de te cacher sous une couette pendant cinq ans.

Mais devine quoi ? Tu n’es pas seule. Ce ras-le-bol rampant, cette envie de crier « pause ! », Prescilia le connaît bien. Elle accompagne depuis plusieurs années des femmes comme toi, qui veulent se sentir mieux rapidement, sans se noyer dans des explications techniques ou des méthodes ésotériques à rallonge. Elle a elle-même traversé ce genre de brouillard, et elle en a tiré des techniques douces, des outils accessibles, et surtout une approche humaine — sans discours culpabilisant, ni phrases du genre « tu n’as qu’à lâcher prise ».

Et parmi ces outils, il y en a un qui fait doucement son chemin auprès des femmes fatiguées de courir après leur propre énergie : l’EFT (Emotional Freedom Techniques). Mais avant de t’expliquer pourquoi tapoter sur tes tempes (oui, littéralement) peut te libérer d’un poids invisible, on va poser les bases, tranquillement, sans jargon. Car ici, sur Mademoiselle S’Aime, on parle vrai, on parle simple, et on parle surtout à toi.

Ce trop-plein que tu traînes : stress, charge mentale et fatigue sourde

Oui, tu tiens bon. Bravo. Vraiment. Mais à quel prix ? Ce n’est pas une médaille qu’on te remet à la fin de la journée, c’est plutôt un pack combo stress–fatigue émotionnelle femme, avec en bonus une montée de cortisol et une furieuse envie de hurler dans ton pld (ou dans un coussin moche, au choix).

La vérité, c’est que tu accumules des micro-stress à la chaîne : une remarque au boulot, un texto sans réponse, une rupture difficile, une liste de courses longue comme un jour sans chocolat… et hop, ton énergie fond comme une bougie IKEA sur un radiateur. Et c’est insidieux. Ce n’est pas un grand boum spectaculaire, non. C’est un épuisement silencieux, qui se faufile partout et s’invite sans prévenir.

Ce n’est pas « juste un coup de mou »

On t’a déjà sorti ça, n’est-ce pas ?
« Allez, prends un week-end au vert et ça ira mieux. »
C’est mignon. Vraiment. Mais là, on ne parle pas d’un petit coup de fatigue passager. On parle d’un trop-plein émotionnel qui ne se vide pas avec trois tisanes et une balade en forêt de Bercé (même si ça peut aider à ne pas mordre).

Non, ce que tu vis, c’est un vrai décalage entre ce que tu ressens et ce que tu as la force d’exprimer. Tu te sens débordée sans raison apparente, et parfois tu crois que tu es juste “trop sensible”.
Note importante : tu es juste humaine. Et accessoirement géniale, mais ce n’est pas le sujet.

Les petits signaux que tu ignores (mais qui clignotent comme une guirlande)

Allez, juste pour voir… coche mentalement ce que tu vis en ce moment :

  • Tu oublies des choses simples. Même les anniversaires. Parfois du chien.

  • Tu dors… mais tu te lèves plus fatiguée qu’en te couchant (ce qui est une prouesse).

  • Tu as envie de pleurer quand la cafetière fait bip. Ce n’est pas normal.
    (Sauf si la cafetière te fait une réflexion sur ton poids. Là, on revoit tout.)

  • Tu es en mode pilote automatique. Même ton miroir te fatigue. (Oui, lui aussi.)

Tu vois, ce ne sont pas des signes de faiblesse. Ce sont des appels au secours déguisés. Et justement, Prescilia ne va pas te dire de « positiver », ni de « te recentrer sur tes chakras ». Elle va te proposer une méthode douce contre le stress, concrète, qui respecte tes limites — pas celles de ton agenda.

Une solution douce et efficace existe (et non, ce n’est pas une baguette magique)

Alors oui, quand tu cherches comment te sentir mieux rapidement, tu tombes souvent sur tout et n’importe quoi. Des bains glacés à 5 h du matin, des jus de chou kale au gingembre (sérieusement, qui boit ça de son plein gré ?), ou des affirmations positives que tu dois réciter entre deux machines à laver. Franchement, si c’est ça le chemin du bien-être, on comprend que tu hésites à t’engager.

Mais ici, pas de rituel lunaire ni de promesse délirante. On va à l’essentiel : une vraie méthode douce contre le stress, qui te veut du bien, sans te demander de changer de prénom ni de t’exiler trois semaines dans une yourte sans Wi-Fi.

Tu n’as pas besoin de tout comprendre pour que ça fonctionne

C’est important de te le dire. Il n’y a pas besoin de lire une encyclopédie du développement personnel, ni de comprendre ton système nerveux par cœur.
Tu n’as pas besoin d’être zen comme un moine tibétain, ni d’avoir une playlist de bols chantants. Ce qu’il te faut, c’est juste une envie simple : que ça aille mieux. C’est tout.

Avec l’approche que propose Prescilia, pas besoin d’être prête à tout révolutionner. Juste prête à essayer un truc doux, accessible, et étonnamment efficace.

L’EFT, c’est quoi exactement ? (Promis, sans mots savants)

Allez, on t’explique sans prise de tête. L’EFT — Emotional Freedom Technique, mais t’inquiète, personne ne va te faire réciter ça — c’est une technique simple, où tu viens tapoter certains points du corps, un peu comme si tu appuyais sur des interrupteurs émotionnels.

Oui, ça peut paraître étrange au début. Mais c’est sans danger, sans douleur, et surtout… sans pression.

Tu es allongée. Tu écoutes la voix de Prescilia qui te guide, tranquillement. Tu respires. Tu relâches. Tu laisses sortir ce qui a besoin de sortir. Et petit à petit, tu sens un peu d’espace qui revient à l’intérieur. Un petit souffle. Une sorte de “ahhhhh” intérieur.
(Pas le genre de soupir qu’on pousse quand on fait tomber un yaourt par terre. L’autre. Le bon.)

Pourquoi ça marche (même si tu doutes encore un peu)

Ce n’est pas magique, c’est mécanique. L’EFT agit à la fois sur ton mental et sur ton corps.
Il t’aide à libérer des émotions coincées (même celles que tu caches sous ton sourire de « ça va très bien merci »), à calmer ton stress, et à retrouver de l’énergie quand tu es stressée — bref, exactement ce dont tu as besoin.

C’est un peu comme si quelqu’un te prenait la main pour souffler à ton cerveau :

“On se détend, tout va bien. Le lave-vaisselle peut biper tranquille, on ne part pas en mode panique.”

Et ça, franchement… ça fait un bien fou.

Ce que tu peux faire concrètement, dès maintenant

Femme africaine détendue sur un canapé, écoutant un audio d’hypnose pour retrouver de l’énergie quand on est stressée – coaching EFT Prescilia

Quand t’écoutes Prescilia et que t’as l’impression de flotter sans avoir bu de tisane magique.

Bon, maintenant que tu sais que tu n’as pas besoin d’être une experte du zen, ni d’avoir fait médecine pour aller mieux… il est peut-être temps de passer à l’action.
Mais attention : ici, « action » ne rime pas avec contrainte. On parle d’un petit pas, tranquille, posé, en chaussons si tu veux.

Une séance à distance, c’est possible (et même très confortable)

Eh oui, tu peux retrouver de l’énergie quand tu es stressée, depuis ton canapé, sans mettre de pantalon à boutons, ni affronter la météo (ni les gens, on ne va pas se mentir).

Prescilia propose des ressources 100 % à distance, que tu peux utiliser comme tu veux :

  • Allongée, emmitouflée dans un plaid

  • Avec ton chat sur les genoux (chat optionnel, mais recommandé)

  • Le soir, quand tout le monde dort et que tu peux enfin respirer

C’est ça, l’avantage : tu avances à ton rythme, selon tes besoins du moment, sans pression ni obligation.
Et franchement, c’est du luxe quand ton cerveau tourne déjà à mille à l’heure.

Ce que tu trouveras dans la boutique de Prescilia

Et là, bonne nouvelle : pas besoin de t’inscrire à un stage dans une forêt enchantée, ni de méditer trois heures sous un chêne centenaire.

Tu peux commencer en douceur, chez toi, avec des outils bien pensés, créés pour des femmes comme toi : fatiguées mais lucides, envie de mieux, sans prise de tête.

E-books à lire sans prise de tête

Des petits guides clairs, écrits en langage humain (oui, vraiment), qui t’aident à comprendre ce que tu ressens, et surtout, comment aller mieux, sans théorie farfelue ni mots en sanskrit.

Fichiers audio d’hypnose

Tu appuies sur “lecture”… et tu laisses faire.
La voix de Prescilia te guide en douceur. Tu n’as pas besoin de croire en l’hypnose, il suffit d’écouter.
Et hop, ta fatigue émotionnelle commence à fondre. Ça ne remplace pas huit heures de sommeil ou une nuit d’amour, mais parfois… ça y ressemble sacrément.

Offres à venir

Prescilia travaille aussi sur d’autres pépites :
mini-coachings, méditations guidées, et plein d’autres douceurs pour l’âme.
Un vrai rayon bien-être à portée de clic, sans promesse floue ni marketing ésotérique.

Tu peux commencer en douceur

Pas besoin d’acheter tout un pack. Juste un petit outil, pour tester, pour te faire du bien. Voilà quelques idées :

  • Choisir un seul audio, celui qui t’attire (celui sur la colère planquée dans le ventre, peut-être ?).

  • Télécharger un e-book à lire dans ton lit, avec ton mug préféré.

  • Écrire à Prescilia si tu hésites, si tu as peur de mal faire, ou si tu veux être sûre que c’est pour toi.

Parce que oui, tu as le droit de poser des questions. C’est même recommandé.
Et tu peux compter sur Prescilia pour te répondre avec douceur, clarté et sans jugement.
Pas de blabla commercial. Juste une femme qui aide d’autres femmes, avec sincérité.

Tu hésites ? Voici ce que d’autres femmes ont ressenti après une séance

On ne va pas se mentir : essayer quelque chose de nouveau quand tu es déjà à plat, c’est un effort à lui tout seul. Tu te demandes peut-être si ça vaut le coup. Si tu ne vas pas “perdre du temps”. Si c’est vraiment fait pour toi.
Et franchement ? Ces questions sont normales. Et saines.

Alors au lieu de te bombarder de statistiques ou de promesses miracles, on te propose juste de lire ce que d’autres femmes ont vécu. Des vraies. Pas des actrices d’une pub pour tisanes.

Des témoignages vrais, sans mise en scène

“Je ne pensais pas que ça ferait autant de bien. J’ai juste pleuré pendant 10 minutes, puis j’ai dormi comme jamais depuis 2017.”

“Je me suis sentie écoutée, sans rien avoir à dire. C’est bizarre, mais dans le bon sens.”

“J’ai enfin compris que je pouvais m’aider… moi. Et ça, je crois que personne ne me l’avait dit aussi simplement.”

Elles n’ont pas reçu un diplôme de zénitude. Elles n’ont pas vu des étoiles tourner autour d’elles (enfin… pas toutes).
Mais elles se sont senties un peu plus elles-mêmes. Moins crispées. Moins perdues. Un peu plus en paix.
Et ça, c’est loin d’être rien.

Et toi, qu’aimerais-tu ressentir dans 3 jours ?

  • Un peu plus de calme dans ta tête ?

  • Moins de tension dans ton ventre ou dans tes épaules ?

  • L’envie de faire quelque chose juste pour toi, rien que pour toi ?

Imagine un instant : et si, dans trois jours, tu avais retrouvé un peu de légèreté, comme après un bon bain chaud… mais à l’intérieur de toi ?

Oui, ça peut vraiment commencer comme ça : avec un fichier audio, un e-book, ou une mini séance en solo.
Rien de compliqué. Rien d’invasif. Juste une vraie pause, et une méthode qui te respecte.

Tu mérites de souffler, pour de vrai

On ne le répétera jamais assez : ce que tu ressens n’est pas un caprice, ni une faiblesse, ni un “petit passage à vide”. Ce que tu vis, c’est une vraie fatigue.
Une fatigue qui n’a pas besoin d’être justifiée, comparée, ou minimisée.

Et pourtant, tu continues. Tu te lèves. Tu gères. Tu fais au mieux.
Mais peut-être qu’au fond, ce que tu aimerais vraiment, ce n’est pas “tenir bon” à tout prix
C’est souffler. Juste ça. Souffler. Pour de vrai.

Arrête de porter tout ça toute seule

Depuis quand as-tu pris ce rôle de super-héroïne du quotidien ?
Depuis quand c’est devenu “normal” de tout anticiper, tout absorber, tout encaisser ?
Et surtout… pourquoi faudrait-il que ça continue comme ça ?

Prescilia accompagne des femmes comme toi chaque semaine. Pas des femmes “à bout”.
Des femmes fortes, lucides, usées d’avoir toujours été fortes.
Et si l’expression « lâcher prise » te donne des boutons (ce qui est très légitime), l’idée ici n’est pas de tout changer dans ta vie.

L’idée, c’est de changer ton rythme intérieur.
De t’aider à libérer un peu de ce trop-plein, en douceur, sans te forcer, sans te brusquer.

Juste pour que tu puisses respirer un peu mieux, retrouver un espace à toi, te sentir exister au-delà de tes to-do lists.

Le vrai luxe, c’est d’aller mieux (et pas de faire semblant)

Tu as remarqué ?
On glorifie la productivité, le stress, le “j’ai pas le temps”.
Mais on oublie de valoriser le simple fait… d’aller bien.

Et tu y as droit. Pas “parfaite”, pas “illuminée”, pas “au top de ta forme”… Non. Juste bien, à ta façon.

Et si ce “bien” commençait par 10 minutes d’écoute d’un audio d’hypnose, en silence, sans faire autre chose, alors c’est déjà énorme.

Ce n’est pas une fuite, ce n’est pas du luxe futile.
C’est un retour à toi.

Prescilia ne te propose pas de devenir une autre. Elle t’aide à retrouver celle que tu es quand tu te sens un peu plus légère.
Celle que tu avais peut-être juste mise en pause. Mais qui est encore là, et qui t’attend.

Passe à l’action… en douceur

On ne va pas te pousser à faire un grand saut dans le vide, ni te promettre que ta vie va se transformer en comédie romantique avec bande-son piano dans les 48 prochaines heures.
Ce n’est pas le genre de la maison.

L’idée, c’est de t’offrir une première marche. Un petit point d’appui.
Quelque chose de simple, que tu peux tester, à ton rythme, pour voir ce que ça change. Sans pression. Sans performance.

Parce que tu le sais déjà : quand on est épuisée émotionnellement, ce sont souvent les petites choses qui font toute la différence.
Pas besoin de tout bouleverser.
Parfois, un outil bien-être à distance suffit pour remettre un peu d’air dans ta tête. Un peu de légèreté dans ton corps. Un peu de “toi” dans ton quotidien.

Choisis ton premier outil dans la boutique de Prescilia

Tu trouveras dans sa boutique des ressources concrètes, pensées pour des femmes comme toi — celles qui veulent aller mieux, sans se noyer dans des notices ou des concepts compliqués.

Selon ce que tu ressens aujourd’hui, tu peux choisir :

  • Un fichier audio d’hypnose, pour apaiser une émotion lourde (la colère rentrée, la fatigue qui colle… tu vois le genre).

  • Un e-book doux mais clair, à lire comme on sirote un thé sous un plaid : sans pression, mais avec du sens.

  • Et très bientôt, des accompagnements plus personnalisés, pour aller un peu plus loin, sans jamais te brusquer.

Tout est disponible en ligne, à télécharger immédiatement.
Pas de rendez-vous. Pas de formalité. Juste un petit pas vers toi.

Tu n’as rien à perdre… sauf ce poids que tu portes en silence

Et au pire ?
Tu auras pris 10 minutes rien que pour toi. Ce qui, franchement, est déjà un petit miracle.

Au mieux ?
Tu vas retrouver un peu d’air, sentir que les choses peuvent bouger, même sans grande révolution.

Et si ça te parle, si ça t’aide, si ça t’allège…
Tu pourras revenir. En essayer un autre. Ou en parler à une amie qui, elle aussi, aurait bien besoin d’un souffle nouveau.

Parce que oui, le bien-être, ça se partage.
Et plus on en parle, plus ça devient possible.
Pour toi. Pour les autres. Et pour toutes celles qui, comme toi, méritent de se sentir mieux. Vraiment.

Et si le déclic, c’était aujourd’hui ?

Je ne vais pas te dire que ce sera facile tous les jours. Ni que l’EFT est une baguette magique qui va transformer ta vie pendant la nuit.
Mais je peux te dire une chose, en toute sincérité : tu mérites d’aller mieux.

Pas “quand tu auras le temps”.
Pas “quand les enfants seront plus grands”.
Pas “quand ce dossier sera enfin bouclé”.
Maintenant. Même un tout petit peu. Même en chaussons.

Tu as le droit de vouloir retrouver de l’énergie quand tu es stressée, sans avoir à tout changer.
Tu as le droit de tester une méthode douce, d’écouter un audio d’hypnose dans le noir, de lire un e-book tranquille sous la couette, ou de respirer juste pour toi, sans devoir te justifier.

Prescilia ne te promet pas de miracle.
Elle te propose simplement des outils bienveillants, pensés pour toi, pour t’aider à avancer à ton rythme, sans jugement, sans pression.
Juste toi, et ce que tu es prête à accueillir aujourd’hui.


Envie de commencer tout de suite ?

🛒 Visite la boutique de Prescilia et choisis l’outil qui te parle.

💬 Une question avant de te lancer ? Elle te répond avec simplicité et bienveillance — via le formulaire de contact ou sur ses réseaux.

🔁 Et si cet article t’a parlé, partage-le. Il tombera peut-être entre les mains d’une autre femme qui, comme toi, avait juste besoin d’un souffle nouveau.

Surmonter un deuil amoureux et retrouver confiance en soi

Surmonter un deuil amoureux et retrouver confiance en soi

Le deuil amoureux : ce moment où même tes chaussettes te jugent

par Christophe Grégoire, rédacteur web pour Mademoiselle S’Aime


Le deuil amoureux, ça ne prévient pas. Ça débarque sans frapper, ça t’installe une colocation émotionnelle envahissante, et ça te fait douter de tout : de toi, des autres, même de ta série préférée. Tu pensais avoir tourné la page, mais en fait, tu as juste changé de chapitre sans lire les notes de bas de page. Résultat : tu pleures devant les pubs de lessive, et ton miroir te regarde avec une pitié silencieuse.

Tu es peut-être en plein dedans. Ou en train d’essayer d’en sortir. Dans tous les cas, ce que tu ressens est légitime. Oui, même si tes proches te disent qu’“il faut passer à autre chose” ou que “ça va aller avec le temps”. Peut-être que la personne que tu as aimée était un homme. Peut-être que c’était une femme. Peu importe : tu as aimé, tu as perdu, et maintenant, tu fais face à un grand vide. Et franchement, ce n’est pas rien.

Prescilia le sait bien : traverser un chagrin d’amour, c’est souvent plus compliqué que ce qu’on voudrait admettre. C’est pour ça qu’elle propose des accompagnements pensés pour toi : des audios d’hypnose, des e-books bienveillants, des séances à distance, pour t’aider à te reconstruire après un chagrin d’amour, à ton rythme, sans pression, sans jugement.

Mais avant d’y arriver, il faut comprendre ce que tu vis. Et c’est ce qu’on va faire ici. Avec douceur, et sans langue de bois. Promis, on va parler de tes émotions post-rupture, de ce qui t’épuise, mais surtout de ce qui peut t’aider à aller mieux. Même si pour l’instant, tu n’en es pas encore convaincue.

Comprendre ce que tu vis : non, tu n’es pas “trop sensible”

Un tsunami d’émotions, c’est normal

Femme en reconstruction après un deuil amoureux, regard tourné vers l’avenir

“Il paraît que le plaid + thé + carnet, c’est la base de la résurrection émotionnelle.”

Un jour, tu ris. Le lendemain, tu pleures devant une vidéo de hérisson. Tu alternes entre fureur, nostalgie, espoir, et cette envie irrépressible d’envoyer le message de trop. Pas de panique : tu es parfaitement normale. Tes émotions sont en train de faire un grand ménage intérieur. Elles retournent les meubles, jettent tout par la fenêtre, puis se demandent pourquoi c’est le bazar.

Ce que tu ressens, c’est un vrai raz-de-marée. Et comme dans tout raz-de-marée, il y a de la casse. Mais ça ne veut pas dire que tu ne peux pas reconstruire après. Ça veut juste dire que pour l’instant, tu navigues à vue. Et c’est ok.

Ton cerveau en mode “survie affective”

Ton cerveau, lui, fait tout pour “comprendre”. Il rejoue les scènes, cherche des signes cachés, analyse chaque mot prononcé lors du dernier “on doit parler”. Il veut trouver une logique. Mais l’amour, comme tu l’as sans doute remarqué, n’a pas toujours de logique. Il y a pourtant des phrases simples pour calmer ton mental quand il tourne en boucle.

C’est pour ça que tu ressasses. Que tu revis. Que tu tournes en rond. Ce n’est pas parce que tu n’avances pas. C’est parce que tu digères. Et ça prend du temps. Mais bonne nouvelle : ton cerveau est une machine incroyable. Et il peut aussi apprendre à lâcher prise. (Oui, même le tien.)

Les grandes étapes du deuil amoureux (et pourquoi ça ne suit jamais un plan linéaire)

Tu espérais peut-être que le deuil amoureux suive un petit guide : étape 1, pleurer ; étape 2, yoga ; étape 3, sérénité. Eh bien non. C’est plutôt l’équivalent émotionnel d’un meuble livré en pièces détachées… mais sans plan de montage ni tournevis.

Phase 1 : Le choc (ou comment ton cœur s’éteint en deux secondes)

Le choc, c’est ce moment où tout bascule sans prévenir. Tu n’as pas eu le temps de te préparer. Une phrase, un silence, un message, et soudain : plus rien. Ton monde se fige. Ce que tu croyais solide vient de se fissurer sous tes pieds. Physiquement, tu peux te sentir comme paralysée. Le souffle court, le cœur qui cogne, ou à l’inverse, une sensation de vide total. Ton corps réagit à sa façon, souvent bien avant que ton cerveau n’ait compris ce qui se passe.

Ton cerveau rame, ton cœur bug

Mentalement, c’est le flou. Tu lis et relis. Tu cherches une faille logique, un malentendu, un mot oublié. Le cerveau, en mode alerte maximale, essaie de mettre du sens là où il n’y en a pas encore. Et c’est épuisant. Tu pourrais croire que tu vas pleurer, hurler, t’effondrer… mais non. Tu es juste figée. Comme si quelqu’un avait mis ta vie en pause, sans bouton « lecture » à portée de main. Ce silence intérieur, ce gel émotionnel, c’est une réaction de protection. Ton système interne essaie de ne pas imploser.

Phase 2 : Le déni (avec option “ce n’est qu’un break”)

Tu veux encore y croire

Tu te répètes que ce n’est pas vraiment fini. Que c’était une dispute, une pause, un moment de confusion. Tu t’accroches à ce petit fil d’espoir, même s’il est mince, même s’il griffe un peu ton petit cœur en compote. Ton esprit n’est pas prêt à enregistrer la rupture. Alors il invente des scénarios où tout s’arrange. Ce n’est pas de la naïveté, c’est un mécanisme de survie.

Le cerveau en mode scénariste romantique

Tu rejoues la scène, tu réécris les dialogues, tu corriges les silences. Tu imagines cette personne revenir, s’excuser, dire qu’elle a fait une erreur. Tu fais des plans dans ta tête. Tu projettes la réconciliation idéale, version comédie romantique de fin d’année. Et dans ton film intérieur, tout finit bien. Sauf que… ce n’est pas un film.

Les signes que tu veux voir

Tu interprètes chaque like, chaque “vu”, chaque phrase vague comme un signe. Tu te dis que s’il ou elle répond encore à tes messages, c’est qu’il y a peut-être une chance. Tu lis entre les lignes. Tu espères. Et ce n’est pas ridicule. C’est humain. Le déni, c’est ta façon à toi de te protéger du vide. De retarder l’inévitable.

Résister à la réalité, c’est aussi une étape

Tu n’es pas en train de fuir. Tu es en train de digérer. Accepter que c’est fini, c’est violent. C’est normal de le faire petit à petit. Ce que tu ressens n’est pas une erreur. C’est un passage. Et plus tu respectes ton rythme, plus tu pourras avancer ensuite, sans trahir ce que tu as vécu.

Phase 3 : La colère (parfois contre toi… souvent contre l’autre)

Tu montes en pression

Jusqu’ici, tu avais mal. Maintenant, tu es énervée. Contre l’autre, contre toi, contre le monde entier, parfois même contre le chat qui te regarde comme si de rien n’était. Il y a de la rage qui monte, et tu ne sais pas encore quoi en faire. Mais elle est là, et elle est bruyante.

Tu rejoues chaque scène. Tu repenses à ce que tu aurais dû dire. À ce que tu n’aurais jamais dû accepter. Tu t’inventes des répliques parfaites, cinglantes, que tu balances dans le vide, dans ta salle de bain ou dans ta tête. Tu listes les moments injustes, les silences pesants, les “je t’aime” tièdes. Et tu sens l’armure qui se forme.

La colère est là pour ça : te redonner un peu de pouvoir. Elle secoue, elle déborde, mais elle te sort de l’apathie. Tu n’es plus figée. Tu es en mouvement. Tu n’es pas encore guérie, mais tu es en réaction. Et ça, c’est un tournant.

Attention au boomerang intérieur

Parfois, la colère se retourne contre toi. Tu te traites de “nulle”, de “trop gentille”, de “pas assez ceci ou trop cela”. Tu repenses à tout ce que tu as fait. Tu te reproches d’avoir cru, d’avoir espéré. Stop. Tu n’as pas à t’auto-flageller. Tu as aimé. Tu as agi avec ton cœur. Et ce n’est jamais une erreur d’avoir aimé sincèrement.

La colère n’est pas ton ennemie

C’est une étape. Pas toujours agréable, mais nécessaire. Elle te montre ce que tu ne veux plus. Ce que tu ne toléreras plus. Ce que tu mérites. Elle te guide vers la reconstruction, même si, sur le moment, elle ressemble à un coup de gueule dans le vide.

Phase 4 : La tristesse abyssale (ou le combo mouchoirs/glace/playlist déprimante)

Tout te ramène à l’autre (même ton frigo)

C’est la phase où chaque objet devient un souvenir piégé. Une chanson ? Ça te ramène au premier rendez-vous. Une cuillère ? À ce dessert partagé un soir de février. Même ton shampoing te rappelle son odeur. Tu pleures sur ton coussin, dans ta voiture, au rayon légumes. Et parfois tu ne sais même plus pourquoi tu pleures. Tu es la tristesse.

Tu te sens vide, inutile, invisible

Il y a des jours où tu n’as pas envie de sortir du lit. D’autres où tu te lèves, mais tu traînes ton corps comme une valise trop lourde. Tu regardes ton téléphone dans le silence. Tu te sens seule, effacée, floue. Comme si quelqu’un avait appuyé sur “pause” dans ta vie mais avait perdu la télécommande. Tu n’es plus tout à fait là, mais tu n’es pas ailleurs non plus.

Et pourtant, tu avances (même si ça ne se voit pas)

Ce que tu vis là, c’est profond. C’est la désintoxication émotionnelle. Tu es en train de couper des liens, de digérer des souvenirs, de pleurer ce que tu espérais. C’est douloureux, mais c’est sain. C’est dans cette tristesse que tu vas peu à peu faire le tri entre ce qui t’a blessée et ce que tu veux garder.

Tu n’as pas perdu la partie — juste tes repères

Et si tu traverses une période floue, quand tu as l’impression d’avoir tout perdu, y compris toi-même, tu n’es pas en train de sombrer. Tu es en train de redescendre pour mieux remonter. Cette sensation de n’être plus “toi” est une transition. Elle fait place au vide… pour que tu puisses enfin y poser ta propre voix, tes besoins, tes désirs.

Tu peux aussi lire cet article si tu te sens justement au bord de toi-même. Il a été écrit pour des moments comme celui-là.

Pleurer ne signifie pas que tu vas mal

Pleurer, c’est relâcher. C’est ton corps qui aide ton cœur à respirer. Ne cherche pas à tout contrôler. Ne retiens pas. Laisse couler. Et si c’est tous les jours ? Alors c’est tous les jours. Jusqu’au jour où… un matin, tu n’en auras peut-être plus besoin. Et tu verras, ce matin-là, tu ne pleureras pas… mais tu souriras un peu.

Phase 5 : L’acceptation (tu ne sautes pas encore de joie, mais tu respires mieux)

Ce n’est pas un grand “bim”, mais un petit “tiens…”

L’acceptation ne vient pas en fanfare. Il n’y a pas de moment solennel où tu lèves les bras au ciel en criant « JE SUIS GUÉRIE ! ». Non. C’est plutôt discret. Parfois presque imperceptible. Tu réalises que tu n’as pas pensé à lui. À elle. À “vous”. Pendant deux heures. Puis une journée. Et tu te dis : tiens…

Tu recommences à exister pour toi

Tu te remets à faire des choses pour toi. Pas pour provoquer une réaction, pas pour prouver que tu vas bien. Juste parce que tu en as envie. Une balade, un carnet, un café avec une amie sans passer ton temps à parler de cette relation. Tu reviens doucement à toi, comme après un long voyage intérieur. Et ce retour, même timide, est magnifique.

Les souvenirs sont toujours là. Tu n’as pas effacé. Mais ils ne contrôlent plus ton humeur. Ils passent comme des nuages, parfois gris, parfois lumineux. Tu les regardes, tu les laisses filer. Tu n’as plus besoin de lutter. Tu n’es plus engloutie. Tu te tiens debout, même si c’est parfois bancal.

Tu ne redeviens pas celle que tu étais : tu deviens celle que tu es

C’est ça, l’après. Ce n’est pas un retour en arrière. C’est une évolution. Tu n’es pas la même. Et c’est ok. Tu es plus lucide, plus douce, peut-être un peu cabossée… mais aussi plus vraie. Ce que tu as traversé t’a ramenée à l’essentiel : toi.

Guérir d’une rupture amoureuse : les pistes qui font du bien (vraiment)

Tu t’attends peut-être à des conseils du type “prends du temps pour toi” ou “fais-toi un masque à l’argile et ça ira mieux”. Ici, on va faire mieux : on va parler de vraies pistes, accessibles, et qui ne te demandent pas de devenir une nouvelle personne, juste de t’écouter un peu plus.

Ton corps a son mot à dire (et il n’est pas toujours tendre)

Tu dors mal ? Tu as mal au dos, au ventre, à la tête ? Ton corps réagit, lui aussi. Il t’envoie des signaux. Il te dit “hé ho, j’ai besoin d’attention !”. Prescilia conseille souvent de commencer par des choses toutes simples : respirer profondément, marcher un peu, t’étirer. Rien d’extraordinaire. Mais parfois, c’est le minimum vital qui change tout.

Les mots qui apaisent (écrits, chuchotés ou criés dans ta voiture)

L’écriture peut t’aider à te reconstruire après un chagrin d’amour. Même si ce que tu écris ne ressemble à rien. Même si c’est moche, confus, plein de fautes. Ce n’est pas pour être publié. C’est pour que ça sorte. Et si tu ne sais pas par où commencer, tu peux lire ça pour t’inspirer et libérer tes émotions par les mots, même maladroits.

Et si tu veux aller plus loin, les audios d’hypnose de Prescilia peuvent t’accompagner dans ces moments où ton mental prend toute la place. Tu n’as rien à faire, juste écouter. Et parfois, ça suffit à te sentir un peu moins perdue.

Et l’estime de toi, dans tout ça ?

Après une rupture, tu peux avoir l’impression que tout est flingué : ton image, ta valeur, ton avenir amoureux. C’est faux. Mais c’est normal de le ressentir. Alors on commence doucement.

Quelques idées pour reconquérir l’estime de soi :

  • Te rappeler une chose que tu fais bien (même si c’est cuire des pâtes al dente)

  • Te dire « non » quand tu sens que tu t’épuises

  • Te dire « oui » quand tu as envie de pleurer, de danser, de ne rien faire

Retrouver confiance en toi grâce aux outils de Prescilia

Tu n’as pas besoin de tout faire toute seule.
Tu as déjà tenu bon jusqu’ici, avec ton lot de larmes, de doutes, de rechutes… et de petits moments de calme aussi, peut-être. Alors maintenant, si tu veux poser un peu ce sac émotionnel trop lourd, il existe des choses simples, à ta portée, pour t’aider à souffler.

Et c’est exactement ce que propose Prescilia. Pas une méthode toute faite, pas un programme culpabilisant. Mais des outils doux, bienveillants, pensés pour toi — toi qui es encore au milieu du bazar affectif, toi qui n’as pas envie d’en parler à tout le monde, toi qui cherches juste un espace où respirer.

Des ressources créées pour t’accompagner, pas pour te changer

Prescilia a mis tout son cœur (et son expérience) dans des formats que tu peux utiliser à ton rythme, en toute autonomie.
Tu veux mettre des mots sur ce que tu vis ? Elle a conçu des e-books à remplir, qui t’aident à sortir ce que tu gardes en toi sans t’imposer de “faire bien”.
Tu as besoin de te poser, de t’apaiser, sans parler à personne ? Ses audios d’hypnose sont là pour ça : des séances guidées, que tu peux écouter dans ton lit, dans ton bain, ou même en cachette sous ta couette.
Tu veux une oreille attentive, un accompagnement sur mesure ? Elle propose des séances individuelles à distance, où tu peux être toi, vraiment toi, sans filtre ni faux sourire.

Ce ne sont pas des gadgets. Ce sont des moyens concrets de t’écouter à nouveau. Et c’est comme ça que tu commences, petit à petit, à reconquérir l’estime de toi.

Trouver ce qui te convient (pas ce qui “devrait marcher”)

Tu n’as pas besoin de cocher des cases. Ni d’entrer dans un moule. Ce que Prescilia propose, c’est justement de te reconnecter à toi-même, pas à une version idéalisée de “la femme qui va mieux”.

  • Tu préfères écrire pour te libérer ? Les carnets-guides sont faits pour toi.

  • Tu es plus auditive, plus intuitive ? Les audios d’hypnose vont t’aider à apaiser ton mental.

  • Tu sens que tu tournes en rond et que tu as besoin d’une vraie présence humaine ? Elle est là. Pour une séance à distance, dans un espace où tout peut se dire — ou se taire, selon ce que tu veux.

Tu peux tester. Revenir. Laisser de côté. Revenir encore. C’est ça, le chemin. Il n’y a pas de ligne droite. Juste ton rythme.


Ce que tu peux espérer… vraiment

Tu ne retrouveras peut-être pas ta joie en sautant du lit demain matin. Mais un jour, tu verras : tu penseras à cette histoire — à cette personne — sans sentir ton cœur se serrer. Tu repenseras à toi, à celle que tu étais, et tu auras de la tendresse au lieu de la colère. De la fierté au lieu du jugement.

Parce que non, tu n’es pas restée à terre.
Tu n’as pas renoncé.
Tu as tenu, tu as avancé, même de quelques centimètres par jour. Et ça, c’est énorme.

Et si aujourd’hui tu lis ces lignes, c’est peut-être le signe que tu es prête. Pas forcément pour tout changer, mais pour recevoir un peu de soutien. Juste ça. Et ce “juste”, parfois, ça fait toute la différence.

Tu veux faire un pas ? Fais-le pour toi

Tu n’as pas besoin d’aller “bien” pour commencer à aller mieux.
Tu peux démarrer là, maintenant, avec ce que tu ressens, avec ce que tu es.
Tu peux télécharger un audio, commencer un carnet, ou simplement écrire à Prescilia pour dire : “Je ne sais pas par où commencer, mais je veux avancer.”

Et tu verras que tu n’es pas seule.
Tu verras que ce que tu vis mérite d’être entendu.
Et tu verras, surtout, que ce deuil amoureux peut devenir une renaissance.


👉 Découvrir les outils de Prescilia pour t’accompagner
👉 Lui écrire pour poser une question ou demander un accompagnement

Affirmations positives : stop aux pensées qui tournent

Affirmations positives : stop aux pensées qui tournent

Affirmations pour arrêter de ruminer : tu n’es pas folle, juste fatiguée de penser

par Christophe Grégoire, rédacteur web pour Mademoiselle S’Aime


Tu sais ce moment où tu t’allonges, bien décidée à dormir, et là… bam. Ton cerveau décide d’ouvrir une réunion d’équipe avec toutes tes pensées anxieuses ? Bravo, tu viens d’entrer dans le club très privé des femmes qui ruminent. Et rassure-toi : tu es loin d’être la seule à y avoir un abonnement illimité.

Mais bonne nouvelle : les affirmations pour arrêter de ruminer, ça existe. Et non, ce n’est pas juste se répéter trois fois dans le miroir « Je suis une licorne sereine ». (Même si, soyons honnêtes, ça peut avoir son charme.) Surtout en pilou-pilou. Bref.

Ici, on va parler de vraies affirmations positives quotidiennes, de celles qui calment les ruminations mentales, apaisent le mental, et t’aident à arrêter de trop penser… sans pour autant te transformer en moine bouddhiste végétalien fan de tisanes à la racine de maca. (À moins que ce soit ton truc. Là, tout est possible.)

Prescilia, coach bien-être et praticienne en hypnose, accompagne justement les femmes comme toi – qui en ont plein la tête, plein le cœur, et zéro bouton off. Et comme elle a compris que tu n’avais pas toujours le temps (ou le budget) pour un coaching complet dès le lundi matin, elle a conçu des outils à ton rythme : audios, e-books, affirmations guidées… Le tout dispo dans sa boutique, depuis ton canapé ou entre deux lessives.

Mais avant d’aller fouiller tout ça, on va surtout t’aider à reprendre la main sur ton mental. Posément. Sans pression. Avec une bonne dose de tendresse (et un peu de sarcasme doux, parce qu’on est entre nous).

Tu es prête ? On attaque ensemble cette habitude de ruminer qui te pourrit la vie. Une affirmation à la fois.

Marre de tourner en boucle ? Les affirmations peuvent t’aider

Femme métisse de 40 ans utilisant des affirmations positives pour calmer ses pensées et arrêter de ruminer chez elle, dans un moment de coaching personnel.

Quand la bougie, le mug et le carnet complotent pour sauver ton mental.

Tu connais ce sentiment de pensées qui tournent en boucle, façon machine à laver en mode essorage ? C’est ce moment fabuleux où tu repenses à une conversation d’il y a trois jours… pour la quatorzième fois. Tu rejoues les scènes, tu changes les répliques, tu te refais même les bruitages. Bref, tu rumin… tu rumin… tu ruminasses. (Oui, les poètes ont le droit d’inventer des mots.)

Le problème, c’est que pendant ce temps-là, tu n’es ni ici, ni maintenant. Tu n’es pas dans ton corps, ni dans ton assiette (au sens propre comme au figuré). Tu es coincée dans ta tête, dans un faux débat intérieur où, soyons clair : tu ne gagnes jamais.

Et c’est là que les affirmations positives quotidiennes entrent en scène. Pas comme une solution magique, non, mais comme un outil simple et doux pour calmer les ruminations mentales sans avoir à tout comprendre, tout analyser, ou tout maîtriser. Ce sont des phrases que tu choisis, que tu adaptes à ta réalité, et que tu utilises comme un ancrage quand ton mental part en freestyle.

Tu te dis peut-être : “Ouais, enfin bon, une phrase, c’est pas ça qui va m’arrêter.” Et pourtant… si. Parce qu’une bonne affirmation, répétée avec intention, a le pouvoir de faire un pas de côté dans le flot incessant de tes pensées.

C’est un peu comme quand une copine te dit : “Allez, respire, c’est pas si grave.”
Sauf que là, c’est toi-même qui apprends à te parler avec douceur. Et franchement : tu es bien plus crédible que tu ne le crois.

Alors, pourquoi ne pas tester ? Une phrase. Une minute. Et si c’était le premier petit pas vers un mental moins bruyant et une vie plus légère ?

Mais au fait… pourquoi tu rumines autant ?

Tu pourrais croire que tu es la seule à faire tourner en boucle les mêmes pensées du style « Et s’il m’en voulait encore ? », « J’aurais dû dire ça autrement », « Pourquoi j’ai accepté ? ». Mais rassure-toi : tu es juste un être humain avec un cerveau très entraîné à dramatiser.

Ton cerveau n’est pas contre toi (mais il est en boucle)

Eh oui. Ton cerveau, c’est un peu comme une vieille playlist Spotify lancée en aléatoire : il recycle. Parfois de belles pensées, parfois… des morceaux que tu ne veux plus jamais entendre. Mais tu peux tout à fait sortir de ce brouillard.

Quand tu rumines, c’est souvent parce que ton mental cherche une solution. Il a enregistré un événement comme inconfortable, voire anxiogène, et il se dit : « Allez, si je rejoue la scène vingt fois, je vais trouver la version qui me soulage. »

Eh bien non. Ça ne marche pas comme ça. Parce que plus tu penses, plus tu t’enfonces. Et plus tu t’enfonces, plus tu penses. C’est le cercle vicieux parfait pour ruiner ton énergie et te couper de tout ce que tu pourrais savourer autour de toi (genre ton café, ton chat, ou ta playlist de Beyoncé).

Le piège de la fausse maîtrise

Tu crois peut-être qu’en pensant plus fort, tu vas mieux contrôler les choses. Que plus tu analyses, plus tu évites les erreurs. Mais la vérité, c’est que ruminer, c’est souvent tourner autour d’un problème que tu ne peux pas régler à ce moment-là.

Tu veux un exemple ? Tu penses à une conversation passée. Tu rejoues ce que tu aurais dû dire. Très bien. Et maintenant ? Rien. Il ne se passe rien, à part un sentiment d’échec persistant qui s’incruste comme une chanson de Céline Dion dans ta tête.

Ce que ça te coûte (et ce que tu peux changer)

Ruminer, ça n’est pas juste un petit travers. Ça use. Ça épuise. Ça grignote ta joie.
Et si tu ressens :

  • une fatigue émotionnelle même après huit heures de sommeil,

  • une anxiété constante, comme une alarme interne sans bouton pause,

  • une envie de tout éviter, des conversations comme des décisions…

Alors c’est peut-être le moment de dire stop.

Pas un « stop » brutal, pas un cri. Un petit stop tout doux, tout mignon, comme un « chuuut » intérieur que tu te murmures à toi-même. Et c’est là que les affirmations pour calmer les pensées deviennent précieuses. Pas comme un pansement, mais comme un outil que tu peux sortir dès que ton cerveau recommence à faire du bruit.

Les affirmations, c’est pas des formules magiques… mais presque

Bon. Maintenant que tu sais que ton cerveau a tendance à s’emballer tout seul, il est temps de te montrer un vrai petit outil anti-spirale mentale. Ce n’est pas un truc farfelu ni une méthode ésotérique réservée aux initiées. C’est même ultra simple : les affirmations positives.

Tu les as sûrement déjà croisées. Ce sont ces phrases qu’on se répète pour se rassurer, se recentrer, et surtout… éviter de se prendre la tête avec notre propre tête.

Une phrase bien choisie, c’est un vrai interrupteur mental

Imagine : ton mental commence à tourner comme une machine à pop-corn. Tu sens que ça chauffe, que ça explose dans tous les sens, et que ça ne va pas s’arrêter tout seul.

Tu as deux options :

  • soit tu continues à souffler sur chaque grain en espérant que ça s’apaise,

  • soit tu sors ton arme secrète : une affirmation simple, claire, choisie avec le cœur.

Et là, magie du quotidien : tu coupes la boucle. Tu crées une respiration dans ton cerveau.

Comment elles t’aident vraiment

On ne parle pas ici de se répéter “Je vais bien, tout va bien” avec les dents serrées et la main qui tremble. Non. On parle de phrases qui t’aident à reprendre la main, un peu comme si tu disais à ton cerveau :
« Merci pour le chaos, mais là, on va faire une pause constructive. »

Voici ce que font réellement les affirmations pour toi :

  • Elles reprogramment ton attention : tu passes d’une boucle négative à une phrase choisie. Ton cerveau ne peut pas penser deux choses en même temps. Donc tu choisis ce que tu lui fais répéter.

  • Elles coupent le flot automatique des pensées : au lieu de ressasser ce qui t’angoisse, tu introduis une phrase qui calme, qui recentre.

  • Elles donnent une direction à ton cerveau : au lieu de courir partout en hurlant (façon hamster paniqué), ton mental s’aligne sur un message simple, clair, qui te fait du bien.

Et non, ce n’est pas de la psychologie de comptoir. C’est même très sérieux : la répétition mentale fonctionne. Ton cerveau finit par croire ce que tu lui répètes souvent. Alors autant lui offrir des phrases qui allègent, plutôt que des pensées qui plombent.

D’accord, mais comment tu les choisis (sans te mentir à toi-même) ?

Parce que oui, il y a affirmations et affirmations. Tu peux te répéter « Je suis une déesse cosmique de lumière intérieure »… mais si ton cerveau te répond “Mouais, mais t’as vu ta tête ce matin ?”, on n’est pas sur une affirmation efficace, on est sur une tentative foirée de méditation auto-sabotée.

Le truc, c’est que pour que ça marche, il faut que tu y crois au minimum 10 %. Sinon, ton cerveau t’envoie balader avec un haussement de sourcils intérieur.

Une bonne affirmation, c’est…

Pas besoin de faire long, ni poétique. Une bonne affirmation est comme une petite phrase à toi, qui te fait du bien sans te faire rougir de gêne quand tu la dis tout haut.

Voici quelques règles pour bien la choisir :

  • Simple : une phrase courte. Ton cerveau adore les trucs courts (surtout quand il est en panique).

  • Crédible : tu ne te dis pas que tu es parfaite, mais que tu fais de ton mieux aujourd’hui.

  • Positive : évite les « je ne veux plus » ou « je ne dois pas ». Remplace-les par ce que tu veux ressentir.

  • Concrète : une phrase que tu pourrais écrire sur un post-it… ( et assumer si quelqu’un la lit ).

Et si tu as besoin d’aide pour en créer, Prescilia en propose déjà dans ses audios d’hypnose, ses supports de coaching ou dans les e-books téléchargeables sur son site. De vraies phrases adaptées à des situations bien réelles. Pas des licornes métaphysiques.

Exemples que tu peux adapter

Et maintenant, un petit cadeau maison : quelques affirmations que tu peux tester, selon ce qui te pèse en ce moment.

  • Si tu culpabilises : « J’ai le droit d’évoluer sans tout comprendre. »

  • Si tu ressasses une dispute : « Je me libère de ce qui ne dépend plus de moi. »

  • Si tu as peur de refaire les mêmes erreurs : « J’apprends et j’avance. »

  • Si tu ne dors pas à cause de tes pensées : « Je peux remettre ça à demain. »

Rien de magique ici. Juste des phrases qui changent ton rapport à toi-même. Tu choisis, tu testes, tu ajustes. C’est un peu comme choisir une playlist anti-ruminations. Sauf qu’au lieu de chanter, tu respirationnes. (Oui, je continue à inventer des mots, et alors ?)

Tu veux que ça marche ? Voici comment les utiliser au quotidien

Tu as trouvé ta phrase. Celle qui te parle, qui te rassure, qui te donne envie d’y croire un peu. Bravo. Mais maintenant, tu fais quoi ? Tu l’encadres au-dessus du lit ? Tu la brodes sur un coussin ? Tu l’apprends par cœur en cas de réunion de famille ?

Tu peux, hein. Mais ce serait dommage de t’arrêter là.

Parce que pour que ça fonctionne vraiment, les affirmations positives, ça ne s’utilise pas juste quand tu as le temps ou quand tu es déjà détendue. Ce serait comme boire de l’eau uniquement quand tu n’as plus soif. Trop tard, Coco.

Ne récite pas… ressens !

Tu n’as pas besoin de te mettre en tailleur face à l’est, une bougie à la main et du bol tibétain en boucle d’oreilles (sauf si tu adores ça; je ne juge pas). En vrai, ce qui compte, c’est l’intention que tu mets dans la phrase.

Dis-la avec ton corps, pas juste avec ta bouche.
Dis-la comme tu parlerais à ta meilleure amie, avec tendresse et conviction, même si ta journée ressemble à un menu de stress façon buffet à volonté.

Ferme les yeux si tu veux. Ou garde-les ouverts. Tu fais comme tu le sens. Ce n’est pas la forme qui compte, c’est le lien que tu crées avec cette petite phrase-là, au moment précis où tu en as besoin.

Intègre-les dans ton quotidien

Pas besoin d’un rituel complexe. Ce que ton mental aime, c’est la répétition. Et pour ça, tu peux glisser tes affirmations dans des moments simples de ta journée :

  • Au réveil : juste après avoir éteint le réveil (ou jeté ton téléphone à l’autre bout du lit), prends 10 secondes pour te dire une phrase.

  • Avant de dormir : au lieu de faire la liste des trucs que tu n’as pas faits, répète ton affirmation pour apaiser ton mental.

  • En cas de pic d’anxiété : une respiration profonde, puis ta phrase. Encore. Encore. Encore.

  • En écriture : note-la dans un carnet le matin, le soir, ou même à la pause café. Ça s’imprime mieux quand tu la vois et que tu l’écris.

Astuces bonus

Si tu aimes les idées un peu créatives et pas prises de tête :

  • Mets-la en fond d’écran (c’est mieux qu’un screenshot de ton agenda saturé).

  • Post-it sur le frigo (juste au-dessus des restes de lasagnes, tu sais, pour équilibrer le karma).

  • Note vocale sur ton téléphone à écouter quand tu te sens partir en vrille.

  • Change-la souvent. Si une phrase ne te parle plus, ce n’est pas toi qui es instable : c’est juste que tu évolues.

Et si tu veux aller plus loin, Prescilia propose déjà des audios d’hypnose douce, des fichiers à écouter en toute autonomie, avec des affirmations guidées selon ce que tu vis (culpabilité, ruminations nocturnes, sensation de surcharge…).

L’idée, c’est d’avoir des outils pour te parler autrement, au bon moment, sans avoir à réfléchir à quoi dire ni comment le dire. Juste à écouter, respirer… et laisser faire.

Et si tu avais de l’aide pour aller plus loin ?

Tu peux évidemment te débrouiller seule. Tu peux chercher sur Google affirmations pour arrêter de ruminer, tomber sur des phrases un peu floues type “Je suis en harmonie avec l’univers cosmique de la licorne galactique”, soupirer, refermer ton ordi, et retourner à tes pensées en boucle.

Mais tu peux aussi te dire : “Et si, pour une fois, je me faisais vraiment du bien ?”

Prescilia, elle ne propose pas juste du coaching bien-être comme on vend des tisanes détox. Elle a créé des outils pensés pour ton quotidien, pour ces moments où tu ne veux pas parler à quelqu’un, mais où tu as quand même besoin d’un soutien doux et efficace.

Des outils créés pour toi dans la boutique de Mademoiselle S’Aime

Tu y trouveras :

  • Des e-books à lire tranquillement chez toi, pour poser noir sur blanc ce que tu ressens, et t’accompagner dans l’écriture de tes propres affirmations.

  • Des fichiers audio d’hypnose (avec la voix douce de Prescilia), à écouter les yeux fermés ou dans le métro. Certains sont conçus spécialement pour calmer les pensées qui tournent, t’aider à t’endormir plus facilement ou à te libérer d’une rumination trop lourde.

  • Des affirmations guidées, triées par situations (culpabilité, charge mentale, angoisse du futur…) — à consommer sans modération.

  • 💡 Et déjà : des accompagnements plus personnalisés, pour aller encore plus loin, si tu sens que seule, tu n’avances plus.

Tout ça, sans obligation de s’exposer, sans “devoir parler de toi”. Juste des outils qui respectent ton rythme, ta sensibilité, ton besoin de douceur.

Et si tu doutes encore, rappelle-toi : tu n’as pas besoin d’aller mal pour t’autoriser à aller mieux.

Tu veux arrêter de ruminer ? Commence par une phrase

Tu ne changeras peut-être pas ta vie entière avec une seule phrase. Mais tu peux commencer à changer ton rapport à toi-même. Et ça, crois-moi, ça fait déjà une sacrée différence.

Arrêter de ruminer, ce n’est pas devenir un être zen qui flotte au-dessus des embouteillages et des remarques passives-agressives de la boulangère.
C’est juste retrouver un peu d’espace dans ta tête, de respiration dans ton corps, et te rappeler que non, tu n’es pas folle, ni trop sensible, ni “trop tout”. Tu es toi. Et tu as le droit de poser les armes mentales, ne serait-ce que cinq minutes par jour.

Alors si aujourd’hui, tu choisis une seule chose pour aller mieux, que ce soit celle-ci :
➡️ Trouve ta phrase. Celle qui apaise. Celle qui soutient. Celle qui fait du bien.

Et si tu veux que quelqu’un t’aide à la trouver, Prescilia a mis tout son cœur dans sa boutique, pour que tu puisses avancer à ton rythme, sans avoir à te justifier, ni à t’expliquer.

Fais-toi ce petit cadeau. Même si ce n’est qu’un fichier audio. Même si ce n’est qu’un e-book.
Parce que parfois, c’est la plus petite phrase qui change le plus grand bazar.

Je me sens perdue : comment sortir du brouillard mental ?

Je me sens perdue : comment sortir du brouillard mental ?

Quand tu te dis « Je me sens perdue dans ma vie » (et que même ton GPS intérieur rame)

par Christophe Grégoire, rédacteur web pour Mademoiselle S’Aime


Il y a des jours où tout va de travers. Et puis, il y a ces moments plus flous, plus sournois, où tout semble à la fois trop plein et trop vide. Tu te lèves avec une boule au ventre, tu avances en pilote automatique… mais sans destination. Tu fais ce qu’il faut, tu souris, tu gères. Et pourtant ? Tu te répètes : « Je me sens perdue dans ma vie ». Et ce n’est pas une phrase que tu balances à la légère.

Tu as peut-être essayé d’en parler. On t’a sûrement dit : “T’inquiète, ça va passer”. Oui. Peut-être. Ou pas. (Parce qu’entre nous, parfois… ça traîne un peu, non ?)

Mais attention, ce n’est pas toi le problème. Ce n’est ni un bug, ni une crise existentielle dramatique. C’est peut-être un brouillard mental, un flou qui s’est installé, comme ça, sans prévenir. Trop de trucs à gérer, pas assez d’espace pour respirer. Trop de questions, pas assez de réponses. Trop de pression, pas assez de douceur.

Et c’est là que Prescilia entre en scène. Elle ne te balance pas une méthode toute faite en mode « Tu vas voir, ça marche pour tout le monde ». Elle t’accompagne en douceur, à ton rythme, pour t’aider à te reconnecter à toi-même. Coaching bien-être, hypnose douce, outils concrets… elle a plus d’un tour dans son sac (et aucun d’entre eux ne pique les yeux avec du jargon).

Si tu ressens ce besoin de clarifier tes pensées, de retrouver un peu de calme intérieur, ou juste de remettre un peu d’ordre dans le bazar émotionnel… Tu es au bon endroit. Ici, pas de discours culpabilisant, pas de pression. Juste des ressources pensées pour toi, des outils concrets, et une approche profondément humaine.

Et si, finalement, ce moment de flou était le début de quelque chose de beaucoup plus clair ?

Ce qui se cache derrière ce sentiment de perte

Tu t’es déjà demandé pourquoi tu te sens à côté de tes pompes… alors qu’en apparence, tout va bien ? Tu n’es pas la seule. Ce sentiment de flou ne tombe pas du ciel : il s’installe petit à petit, entre deux rendez-vous manqués avec toi-même, trois obligations subies, et une to-do list qui ne te ressemble plus.

Le plus traître dans tout ça ? C’est que tu continues à fonctionner. Tu bosses, tu gères les enfants, tu fais à manger, tu réponds aux messages. Tu tiens la baraque… parfois même avec ton mec devant son sport à la télé. Mais dedans, ça tangue. Et c’est souvent là que la phrase surgit : « Je me sens perdue dans ma vie ».

Alors, pour remettre un peu de lumière sur ce brouillard intérieur, voyons ensemble les signes qu’il est peut-être temps de lever le pied… et de tendre l’oreille à ce qui se joue en toi.

Les signes que quelque chose ne tourne pas rond

  • Tu as l’impression de vivre en mode automatique (sans mise à jour).

  • Tu n’arrives plus à prendre de décisions simples (pâtes ou riz ? angoisse existentielle).

  • Tu n’as plus d’élan, plus d’envie, même pour les trucs qui te faisaient du bien.

  • Tu fais semblant d’avoir la main sur le volant alors que tu sais très bien que tu roules sur Google Maps en mode « itinéraire alternatif aléatoire ».

Pourquoi tu te sens paumée sans raison apparente

Il y a des moments dans la vie où tout s’accumule. Les attentes des autres, les changements invisibles, les deuils qu’on n’a pas pris le temps de nommer, les rêves qu’on a mis en veille. Et sans crier gare, tu te réveilles un matin en ayant l’impression de ne plus habiter ta propre vie.

Tu ne sais pas exactement ce que tu veux, mais tu sais que ce que tu vis là, maintenant, ce n’est plus toi. Et même si personne autour de toi ne le voit, toi tu le sens. Ce flottement, ce « je ne sais plus », ce manque d’envie d’avancer — il mérite d’être écouté. Pas ignoré. Ni rangé dans la case « ça va passer ».

Tu n’as pas à « trouver ta voie » : et si tu te retrouvais d’abord ?

Parce que bon… « trouver sa voie », ça sonne bien sur les réseaux, mais dans la vraie vie, tu fais comment ? Tu prends une pelle ? Un détecteur de vocation ? Tu demandes à ton chat ?

La vérité, c’est qu’avant de vouloir tracer un chemin tout droit vers l’épanouissement, tu peux déjà commencer par te retrouver toi. Pas « la version parfaite de toi-même en 21 jours », non. Juste toi, ici, maintenant, avec tes envies, ton bordel intérieur et ton humour douteux (si tu en as, bienvenue au club).

Se reconnecter à soi-même : par quoi commencer ?

Écouter ton corps (oui, même quand il râle)

Ton corps te parle plus souvent que tu ne crois. Fatigue, tensions, migraines de compétition : c’est son langage à lui. Si tu ressens un flou dans ta tête, il y a de grandes chances qu’il se soit déjà exprimé ailleurs. Prendre cinq minutes pour respirer, te masser les épaules ou juste t’allonger les yeux fermés, ça peut déjà être une micro-révolution intérieure.

Te libérer du bruit mental (et du bruit tout court)

Il y a le bruit des notifications. Le bruit des infos. Le bruit des « tu devrais ». Et puis il y a ton propre brouhaha intérieur, ce disque rayé qui répète que tu n’es pas assez ceci ou trop cela. Prendre du recul, t’accorder du silence, c’est pas un luxe de yogi : c’est une base de survie émotionnelle. Et pour ça, l’hypnose douce que propose Prescilia, par exemple, peut t’aider à ralentir le flot sans te forcer à méditer pendant 4h en tailleur.

Revenir à l’instant présent (sans t’endormir dessus)

Non, on ne va pas te dire de faire de la pleine conscience avec une raisin sec. Mais tu peux peut-être commencer par remarquer ce que tu ressens maintenant, là, tout de suite. Fatiguée ? Agacée ? Légèrement affamée ? Tout est bon à prendre comme point de départ. Plus tu reviens à toi, moins tu te perds dans ce que les autres attendent de toi.

Sortir du brouillard mental : des pistes concrètes

Tu n’es pas obligée de tout comprendre tout de suite, ni d’avoir un grand déclic mystique un mardi matin à 8h12. Ce brouillard-là, tu peux en sortir pas à pas, avec les bons outils et sans te mettre la pression.

Prescilia le sait bien : quand on se sent perdue, on n’a pas besoin d’un plan d’action militaire. On a besoin de douceur, de soutien, et parfois d’un petit coup de pouce discret pour commencer à y voir plus clair.

Coaching, hypnose, journaling : choisir ce qui te parle

Le coaching pour y voir plus clair (pas pour t’imposer un plan de carrière)

Le coaching proposé par Prescilia n’est pas là pour te transformer en super-héroïne de ta propre vie avant vendredi. Il est là pour t’aider à clarifier tes pensées, à faire le tri entre ce que tu veux vraiment et ce que tu crois devoir vouloir. En quelques échanges bien menés, tu gagnes déjà en clarté mentale, sans avoir à cocher la case “je sais ce que je fais de ma vie”.

L’hypnose pour apaiser le mental sans effort

Pas besoin de spirale qui tourne ou de voix cheloue façon documentaire animalier. L’hypnose douce de Prescilia, c’est plutôt comme une sieste guidée avec des effets secondaires agréables : tu te sens plus calme, plus présente, plus alignée avec toi-même. Et sans avoir à parler pendant des heures.

L’écriture pour faire le tri (et vider la poubelle émotionnelle)

Oui, écrire. Même trois lignes sur un carnet. Même un mot clé au milieu d’un brouillon. L’écriture, c’est un accompagnement pour sortir du flou, une façon simple de te reconnecter à toi. Prescilia propose aussi des pistes dans ses e-books pour t’y mettre, sans avoir à te prendre pour Marguerite Duras (à moins que ce ne soit ton truc).

Les ressources proposées par Prescilia pour t’accompagner

Femme de couleur de 40 ans tenant un flyer Mademoiselle s’Aime avec le numéro 06.63.31.80.30, hésitant à appeler pour un coaching.

Elle hésite… mais son pouce n’est pas loin du bouton “composer”.

Tu veux avancer, mais sans y laisser ton énergie, ton budget et ton moral ? Bonne nouvelle : Prescilia a pensé à tout. Enfin… surtout à toi. Elle propose des formats accessibles, doux, pensés pour t’accompagner quand tu te sens paumée, sans te bombarder de concepts flous ou de routines irréalisables.

Et si tu appelais, tout simplement ?

Et si tu as besoin d’un échange plus direct, sache que tout peut aussi commencer par un simple appel. Oui, oui, vraiment. Tu prends ton téléphone, tu expliques ce que tu vis (même si c’est flou, même si tu ne sais pas trop par où commencer), et Prescilia t’écoute, sans jugement, au 06.63.31.80.30.

Elle peut te proposer un accompagnement sur-mesure, du coaching ou des séances d’hypnose à distance, selon ce dont toi, tu as besoin. Le tout avec des tarifs clairs (pas de surprises façon facture de plombier), et une vraie souplesse dans l’organisation.

E-books de coaching : des déclics en douceur

Ces e-books sont comme des petites lampes de poche dans le noir. Pas des pavés théoriques, non. Juste ce qu’il faut d’explications, d’exercices et de mises en situation pour t’aider à clarifier tes pensées, retrouver un peu d’élan et poser des actes concrets… sans pression.

Dedans, tu trouveras des pistes pour te reconnecter à ce qui t’anime (même si pour l’instant, tu as juste envie de rester en pyjama), des outils pour se reconnecter à soi-même, et parfois même un petit brin d’humour entre deux prises de conscience. Parce qu’on peut aller mieux sans se prendre trop au sérieux, non ?

Audios d’hypnose : pour relâcher sans réfléchir

Si tu es du genre à dire “j’ai pas le temps de me poser”, c’est justement pour toi. Les audios de Prescilia sont faits pour être écoutés chez toi, en jogging, les yeux mi-clos (ou grands ouverts si tu préfères). Pas besoin d’y croire dur comme fer : ton cerveau, lui, capte les messages utiles. Et toi, tu retrouves un peu de calme, de distance… et parfois, une sensation que tu avais oubliée : la légèreté.

Et bientôt…

Prescilia ne s’arrête pas là. Elle prépare des nouveautés, toujours dans l’idée de t’aider à sortir du brouillard mental à ton rythme :

  • Des mini-programmes sur plusieurs semaines pour poser les choses dans la durée

  • Et peut-être bientôt un accompagnement plus suivi, toujours en douceur, toujours centré sur ce que toi, tu ressens

« Je me sens toujours perdue… et maintenant ? »

Si tu es encore là, à lire ces lignes, c’est sans doute que le brouillard ne s’est pas totalement dissipé. Peut-être même qu’il s’est épaissi entre deux paragraphes. Et c’est OK. On ne balaie pas des années de doutes avec trois conseils (ni même avec un bon plaid et un rooibos vanille).

Mais si tu te dis “je me sens toujours perdue”, c’est justement peut-être le bon moment pour arrêter de chercher seule et oser demander de l’aide. Pas pour t’en remettre à quelqu’un d’autre, non. Juste pour t’autoriser à souffler un peu, à poser ton sac, et à regarder ce qu’il y a dedans sans jugement.

Quand rien ne suffit, c’est peut-être le moment d’oser l’aide

Non, tu n’as pas « tout essayé »

Tu as peut-être tenté deux-trois vidéos YouTube, parlé à ta meilleure pote (qui t’a dit “fais du yoga”), testé un carnet de développement personnel que tu as refermé à la page 4. Mais tu n’as pas tout essayé. Tu n’as pas encore tenté un accompagnement pensé pour les femmes comme toi, ni un audio d’hypnose taillé pour te reconnecter à toi-même sans t’imposer un changement brutal.

Tu as le droit de ralentir

On t’a appris à avancer, produire, gérer, sourire, performer. Mais pas à ralentir, à savoir ressentir. Encore moins à te dire : “Je vais m’occuper de moi maintenant, même si la vaisselle n’est pas faite”. Eh bien voilà. Je te le dis : tu as ce droit. Tu peux prendre ce temps. Tu peux appuyer sur pause. Et le monde ne va pas s’écrouler. (Il continue très bien sans ton linge plié.)

Et aussi d’être guidée sans perdre ta liberté

Demander de l’aide, ce n’est pas abandonner le volant. C’est juste accepter qu’on peut avoir un GPS plus fiable. Un qui te laisse choisir la destination, mais qui t’aide à éviter les routes barrées. C’est ce que propose Prescilia, sans jamais te dire ce que tu dois faire, mais en t’accompagnant pour que tu te reconnectes à ton propre cap intérieur.

Et si tu faisais un premier pas tout doux ?

Pas besoin de grands chamboulements pour commencer à aller mieux. Parfois, il suffit juste… d’un pas. Un petit. Un pas qui dit : “Bon, là j’en ai marre, je tente quelque chose de nouveau, mais sans pression.” Et ce quelque chose, tu peux le trouver dans la boutique de Prescilia.

Une boutique pensée pour toi, pas contre toi

Ici, pas de discours culpabilisant, pas de contenu bling-bling ni de promesses foireuses du genre “change de vie en 48 heures”. Juste des outils adaptés à ton rythme, à ton état d’esprit du moment, et surtout à ta réalité (oui, même si tu n’as que 12 minutes devant toi entre deux lessives).

Tu y trouveras :

  • Des e-books qui vont droit au but (mais avec bienveillance)

  • Des audios d’hypnose qui t’aident à clarifier tes pensées sans effort

  • Des formats courts, faciles à intégrer à ta vie de femme débordée, fatiguée, motivée (ou les trois à la fois)

Comment choisir ce qui te convient ?

Selon ton humeur du moment

Si tu as juste besoin de te poser, un audio d’hypnose peut être parfait. Si tu sens que tu veux comprendre ce qui se passe en toi, un e-book sera ton meilleur compagnon de canapé.

Selon ce que tu ressens dans ton corps

Épuisée ? Stressée ? Agitée ? Chaque ressource proposée par Prescilia est pensée pour t’accompagner dans un état particulier, pas pour t’imposer un mode d’emploi rigide.

Selon ce que tu es prête à accueillir

Tu n’as pas à tout régler d’un coup. Tu peux simplement te dire : “Je vais tester ça, voir comment je me sens.” C’est déjà un mouvement. C’est déjà un choix. Et c’est souvent le début du retour vers toi-même.

Et si le brouillard n’était que temporaire ?

Tu sais, ce moment où tu te dis “je me sens perdue dans ma vie”, ce n’est pas une fin en soi. C’est souvent un signal, pas une condamnation. Un appel discret (ou pas si discret) à ralentir, à regarder autour de toi, et à t’écouter — vraiment. Ce brouillard, aussi épais soit-il, ne définit pas qui tu es, ni ce que tu peux devenir.

Prescilia le sait. C’est pour ça qu’elle ne propose pas de solutions toutes faites, mais des ressources concrètes, bienveillantes et modulables, pour que tu avances à ton rythme. Ce que tu vis aujourd’hui, ce n’est peut-être qu’un virage. Et tu as le droit d’être paumée un moment — tant que tu ne restes pas seule sur le bas-côté avec tes valises pleines de “je ne sais plus”.

Alors, que tu choisisses d’appeler Prescilia, plutôt un e-book ou un audio d’hypnose, voire juste un moment pour souffler, ce premier pas peut tout changer. Doucement, sûrement, et surtout, sans t’obliger à enfiler une cape de superwoman.

Tu n’as pas à savoir exactement où tu vas. Tu peux juste décider de ne plus rester bloquée là où tu es.