Libérer ses émotions grâce aux mots

Libérer ses émotions grâce aux mots

Libérer ses émotions : quand on en a plein la tête (et le cœur)

par Christophe Grégoire, rédacteur web pour Mademoiselle S’Aime


Libérer ses émotions, ça devrait être simple, non ? Et pourtant. Tu les sens là, coincées quelque part entre la poitrine, le ventre et ces pensées qui tournent en boucle. Elles s’accumulent, silencieuses, jusqu’au moment où… ça déborde. Une remarque de trop, une larme qui surprend, une fatigue qui s’installe. Et tu ne sais même plus exactement ce qui te pèse.

Prescilia le voit souvent : des femmes qui gardent tout à l’intérieur, parce qu’elles n’ont pas appris à faire autrement. À force de te taire, tu finis par ne plus t’entendre toi-même. La bonne nouvelle ? Tu peux changer ça.

Et non, pas besoin de partir faire une retraite en forêt ni de te rouler sur un tapis en criant “libération !”.
Il suffit parfois de poser des mots — juste des mots — au bon endroit.

Pourquoi c’est si difficile de dire ce qu’on ressent

Ce que tu gardes finit par peser

On t’a peut-être appris à sourire poliment, à ne pas faire d’histoire, à ravaler tes larmes comme d’autres avalent un café trop fort : d’un trait, sans broncher. Résultat ? Tu as intégré, sans même t’en rendre compte, que tes émotions étaient… de trop. Alors tu t’es tue. Tu as pris l’habitude de tout gérer, seule, en silence. Jusqu’à ce que ton corps, lui, commence à parler à ta place.
Avec du recul, tu aurais fait autrement. Mais on ne t’a pas montré comment.

Exprimer ce que tu n’as jamais dit

Le problème, c’est qu’à force de tout garder, tu ne sais même plus comment le dire. Par quoi commencer ? À qui ? Et puis… pour quoi faire ?
Et pourtant, oser dire ce qui fait mal, même si ça sort tout croche, même si tu trembles ou que tu pleures, c’est déjà un début.
Un premier pas vers un peu plus d’espace à l’intérieur. Un peu plus d’air.

Les mots ont un pouvoir magique (et tu en as plus que tu ne crois)

Poser des mots sur tes blessures, c’est commencer à guérir

Tu as déjà essayé de dire ce que tu ressens, et c’est sorti… tout croche ? Avec des phrases bancales, des larmes surprises et ce petit vertige d’avoir mis ton cœur sur la table ? Eh bien voilà. C’est exactement ça, le début de la libération. Parce que les mots, même maladroits, ont un pouvoir.

Poser des mots sur tes blessures, ce n’est pas les rouvrir. C’est, au contraire, commencer à les désamorcer. Et non, ce n’est pas “dramatiser” que de dire ce que tu ressens. C’est juste apprendre à mieux vivre tes ressentis, au lieu de les subir en silence.

Oser dire ce qui fait mal (sans que ça vire au drame shakespearien)

On ne te demande pas de faire une grande déclaration devant ton miroir, en robe de chambre et musique tragique en fond. Parfois, il suffit juste de murmurer un “j’en peux plus” ou un “j’ai mal” dans un carnet. Ou de l’écrire sur ton téléphone. Ou de te le dire dans ta tête, entre deux carrés de chocolat. Oui, ça compte.

Exprimer ce que tu n’as jamais dit, ce n’est pas devenir une autre personne. C’est juste redevenir un peu plus toi. Et ce pouvoir-là, tu l’as, même si on ne te l’a jamais montré.
Les mots sont tes alliés. Et si tu ne sais pas encore comment les utiliser, commence doucement. Ils t’attendent.

Se libérer par l’écriture (même quand on ne sait pas comment s’y prendre)

L’écriture émotionnelle guidée, c’est pas du Victor Hugo

Oublie les dissertations du lycée et les fautes soulignées en rouge. Ici, il n’y a pas de mauvaise réponse, pas de style à soigner, pas de plan en trois parties. Il y a juste toi, un stylo (ou un clavier), et ce qui a besoin de sortir. Même si c’est brouillon. Même si c’est moche. Même si c’est juste un mot que tu écris vingt fois parce qu’il te brûle encore la gorge.

Se libérer par l’écriture, c’est écrire sans public. Sans pression. Sans performance. C’est t’autoriser à dire ce que tu n’arrives pas à dire à voix haute. C’est vider la corbeille mentale. Et parfois, c’est là, entre deux phrases toutes bancales, que tu sens enfin un peu d’air revenir.

Quelques pistes concrètes pour démarrer

On le sait, commencer peut vraiment te paralyser. Alors voilà quelques amorces toutes simples, que Prescilia utilise dans ses accompagnements. Pioche celle qui te parle… et vois où ça t’emmène.

  • “Aujourd’hui, j’ai besoin de te dire que…”

  • “Ce que je ressens mais que je n’arrive pas à montrer, c’est…”

  • “Si je pouvais crier sans peur, je dirais…”

  • “Ce que j’ai gardé trop longtemps en moi…”

  • “Ce qui me soulagerait, là, tout de suite…”

Tu peux écrire une page ou juste deux lignes. Tu peux pleurer, rire ou bailler d’ennui. C’est toi qui décides. Et franchement, c’est déjà un pas immense.

L’hypnose : écouter pour libérer ce que tu retiens

Quand la voix devient un outil de libération

Il y a des jours où même écrire, c’est trop. Ta tête est pleine, ton cœur vidé, et rien que l’idée de “t’y mettre” te donne envie de changer d’identité et de vivre dans une grotte. Dans ces moments-là, écouter peut devenir ta vraie porte de sortie.

Et c’est là que l’hypnose proposée par Prescilia entre en scène. Pas de pendule, pas de regards fixes à la télé. Juste une voix douce, des images qui s’invitent tranquillement dans ton esprit, et un espace rien qu’à toi, pour souffler un bon coup.
Tu peux te reconnecter à ce que tu ressens, sans avoir à aligner une seule phrase. L’hypnose, c’est un peu comme une balade intérieure… sans carte, mais avec un guide qui ne te laisse jamais seule au bord du chemin.

Des audios pensés pour tes émotions (même celles que tu caches très bien)

Les fichiers audio de Prescilia ne sont pas de simples “petites musiques relaxantes”. Ils sont pensés pour accompagner des femmes comme toi, dans des moments où c’est juste trop. Trop de bruit, trop de charge mentale, trop de non-dits, trop d’émotions enfouies et prêtes à exploser.

Tu peux les écouter :

  • Le soir, quand ta tête refuse de se taire,

  • En journée, quand tu sens que tu vas mordre quelqu’un (ou fondre en larmes),

  • Ou même planquée sous la couette, quand tu veux juste exister en paix, sans avoir à aligner un mot.

Libérer tes émotions, parfois, c’est aussi simple que de fermer les yeux… et de laisser une autre voix dire ce que la tienne n’arrive pas encore à formuler.

Comment choisir ton chemin d’accompagnement ?

Ce que tu ressens est légitime (même si tu ne sais pas encore par où commencer)

Tu as peut-être lu tout ça en te disant : “Oui bon, c’est bien joli, mais je fais quoi maintenant ?” Et tu as raison. Parce que quand tu as mis tant de temps à poser des mots sur tes blessures, tu ne sais pas toujours par où commencer. Ni vers quoi te tourner. Ni même si tu es prête.

La bonne nouvelle ? Il n’y a pas UNE seule bonne façon de se libérer. Certaines femmes écrivent, d’autres écoutent. Certaines veulent échanger, d’autres ont juste besoin d’un moment en solo, sans parler à personne. Et tout ça, c’est complètement OK.

Prescilia le sait : chacune avance à son rythme, avec ses ressources, son histoire, ses montagnes russes… et ses humeurs (oui, même celles que tu planques derrière un sourire impeccable).

Ce que tu trouveras dans la boutique de Prescilia

Dans sa boutique, tout a été pensé pour que tu puisses choisir ce qui te parle, selon ce que tu vis en ce moment. Tu peux commander tranquillement, télécharger ce dont tu as besoin, et avancer à ton rythme — que ce soit en chaussettes, en pyjama ou à 2h du matin entre deux insomnies (personne ne t’observe, promis).

Tu y trouveras :

  • Des fichiers audio d’hypnose, pour libérer en douceur les émotions enfouies,

  • Des e-books guidés, pour t’accompagner dans l’écriture de ce que tu ressens,

  • Des prestations de coaching qui s’adaptent à toi, et pas l’inverse.

Et surtout : tu restes libre de tout. Tu peux tester, faire une pause, recommencer, changer d’outil, ou simplement te laisser le temps. Tu n’as rien à prouver. C’est toi qui décides.

Et toi, qu’est-ce que tu n’as jamais dit ?

Tu n’as pas besoin d’un drame pour avoir mal

Peut-être que tu te dis que ce que tu ressens n’est “pas si grave”. Que d’autres ont vécu bien pire. Que toi, tu dois tenir bon, comme d’habitude.
Mais voilà : la douleur ne se classe pas par ordre d’urgence comme aux urgences, justement. Elle se vit. Un nœud à la fois. Un silence après l’autre.

Exprimer ce que tu n’as jamais dit, c’est donner une vraie chance à ton histoire d’exister. Pas pour t’y noyer, mais pour en sortir un peu plus légère, un peu plus libre. Ce que tu ressens mérite d’exister, même sans explication, même sans en faire tout un plat.

Tu n’as pas à prouver que tu vas mal pour mériter d’aller mieux.

Prête à essayer ?

Tu peux commencer ce soir par écrire trois phrases. Ou par écouter une séance d’hypnose au fond de ton lit. Ou juste t’autoriser à penser que libérer tes émotions, c’est peut-être un vrai projet pour toi, là, maintenant. Pas demain. Pas quand tu auras plus de temps. Mais aujourd’hui. Parce que tu le mérites.

Et si tu veux un coup de main pour t’y mettre, Prescilia t’attend. Sans pression, sans blabla marketing. Juste avec des outils concrets, pensés pour toi. Par une femme qui a connu ce que c’est que de tout garder pour soi… et qui sait aujourd’hui comment s’en libérer.

Ce n’est pas “juste des mots”… c’est ton espace pour respirer

Tu l’as sans doute compris : ici, personne ne te demande d’aller bien, ni de devenir une version zen et lumineuse de toi-même en dix jours chrono. On te propose juste d’essayer. D’oser poser des mots, d’écouter ce que tu ressens, d’exprimer ce que tu caches depuis trop longtemps. Et surtout : de t’offrir un vrai moment rien que pour toi.

Prescilia a rassemblé des ressources simples, accessibles et discrètes, que tu peux explorer à ton rythme, depuis chez toi, sans pression ni jugement. Tu n’as pas besoin d’en parler autour de toi. Tu peux commencer seule, avec ce qui t’aide : un carnet, un fichier audio, un e-book, ou juste un moment pour te reconnecter à ce que tu ressens.

Et si cet article t’a touchée, fait écho à quelque chose en toi, ou t’a simplement donné envie de souffler un peu…

  • Partage-le à une amie qui en aurait besoin,

  • Laisse un commentaire pour dire ce que tu en as pensé,

  • Ou viens faire un tour dans la boutique de Prescilia, pour découvrir les ressources pensées spécialement pour toi.

Parce que les émotions, ça se vit.
Mais ça s’apprivoise aussi. Une phrase à la fois.

Avec le recul, voilà ce que je changerais

Avec le recul, voilà ce que je changerais

Avec le recul : apprendre de son passé pour mieux avancer

par Christophe Grégoire, rédacteur web pour Mademoiselle S’Aime


Qui n’a jamais eu ce petit moment de solitude intérieure : « Pourquoi j’ai dit oui à ça ? », « Sérieusement, j’ai cru que c’était une bonne idée ? »
(Même ton ancienne version de toi-même hausse parfois les sourcils en te regardant.)

Apprendre de ton passé, ce n’est pas t’auto-juger. C’est regarder tes souvenirs autrement, avec un brin de recul et beaucoup plus de tendresse. C’est exactement ce que Prescilia propose : t’aider à faire autrement, à ton rythme, avec tes mots à toi.

Et si, en regardant ton passé autrement, tu pouvais commencer à bouger des choses… sans tout casser ?

Pas besoin de connaître le vocabulaire du développement personnel ou de réciter des mantras tibétains à l’envers. Ici, on parle simple, vrai, et parfois avec un peu d’autodérision.

Prête à voir ce que tu pourrais transformer sans t’épuiser ? C’est parti.

Pourquoi on referait les choses autrement (même quand on a bien fait)

Le « j’aurais dû », ce compagnon un peu collant

Même les plus intuitives, les plus solides, les plus organisées se surprennent à se dire un jour :

« Pourquoi j’ai accepté ça ? »
« J’aurais dû écouter mon intuition… »
« Et si j’avais osé faire autrement ? »

Ce n’est pas une faiblesse. C’est souvent le signe que tu es prête à apprendre de ton passé, à en tirer du sens, au lieu de ruminer.

Et si, au lieu de te juger, tu choisissais de te comprendre, vraiment ?

Ce que la vie ne t’apprend pas à l’école

Tu sais poser une division, conjuguer au subjonctif… mais personne ne t’a appris à :

  • dire non sans t’excuser,

  • poser tes limites sans culpabiliser,

  • écouter ton ressenti plutôt que les attentes des autres.

Et surtout, personne ne t’a montré comment tirer des leçons de tes erreurs sans t’en vouloir.

C’est là que Prescilia intervient. Elle t’aide à (ré)apprendre ce que tu aurais aimé savoir plus tôt… mais avec douceur et clarté.

Non, tu n’as pas tout raté (promis)

Même si tu as l’impression d’avoir pris la mauvaise route, il y avait sûrement un message à entendre, un besoin ignoré, ou un vieux réflexe hérité sans le vouloir.

Quelques vérités à garder sous le coude :

  • Tu as fait du mieux que tu pouvais, avec ce que tu avais.

  • Certaines erreurs t’ont appris ce que tu ne veux plus vivre.

  • Ce n’est pas parce que tu as chuté que tu dois rester à terre.

  • Tu peux te réconcilier avec ton histoire, même si elle pique un peu.

Apprendre de ses erreurs sans se blâmer : c’est possible

Prescilia ne te fera pas remonter le temps (ni boire une infusion « sérénité du foie »). Par contre, elle peut t’aider à :

  • poser des mots sur ce que tu as vécu,

  • repérer ce qui bloque encore,

  • retrouver une version de toi plus douce, plus vraie.

Ses outils ? Des audios, des ebooks, des échanges simples. Pas de pression, pas de perfection à atteindre. Juste un nouveau regard sur toi, un pas après l’autre.

Les signes que tu es prête à regarder ton passé autrement

Tu sens qu’un truc coince… mais tu ne sais pas quoi

Tout semble aller « à peu près bien », mais au fond, il y a ce flou, cette petite tension, ce truc pas clair qui freine.

Ces signes qui ne trompent pas :

  • Tu repenses à des situations passées avec gêne ou tendresse.

  • Tu évites certains souvenirs comme d’autres évitent leur banquier.

  • Tu sens que tu pourrais avancer… mais tu ne sais pas par où commencer.

C’est souvent là que Prescilia intervient. Elle ne te donne pas de réponse toute faite. Elle t’aide à écouter ce que ton histoire essaie de te dire.

Tu répètes certains schémas (et ça t’épuise)

Tu te demandes : « Pourquoi je tombe toujours dans les mêmes relations, les mêmes ambiances, les mêmes galères ? »

Souvent, c’est une vieille croyance qui traîne dans un coin de ta tête et qui souffle : « Tu ne mérites pas mieux. » ou « Ne fais pas de vagues. »

Tu te reconnais peut-être ici :

  • Tu t’oublies pour que les autres aillent bien.

  • Tu dis oui quand tout en toi crie non.

  • Tu t’excuses d’exister pour demander… un verre d’eau.

Bonne nouvelle : ces blocages ne sont pas figés. Prescilia est là pour t’aider à les transformer en vraie force, sans culpabilité au passage.

Tu as envie de comprendre… pour enfin avancer

Quand tu commences à te dire : « J’en ai marre de tourner en rond… je fais quoi maintenant ? », c’est que quelque chose est prêt à bouger.

Pas besoin de tout chambouler. Il suffit souvent de choisir autrement, un petit pas à la fois.

Prescilia te propose des formats simples et accessibles — ebooks, audios d’hypnose (même si l’hypnose ne ta pas réussi une première fois), accompagnement — pour t’aider à avancer à ton rythme. C’est toi qui choisis. Elle suit ton tempo, pas l’inverse.

Ce que j’ai appris, ce que tu peux apprendre aussi

Ton passé ne s’efface pas, mais tu peux le porter autrement

On ne va pas faire comme si les souvenirs gênants n’existaient pas. Mais tu peux changer la manière dont tu les portes.

Imagine troquer une vieille valise cabossée contre un sac à dos bien ajusté : le poids est là, mais tu avances plus léger.

C’est exactement ce que propose Prescilia. Pas de baguette magique, mais un vrai accompagnement pour te réconcilier avec ton histoire — et, pourquoi pas, en sourire un peu.

Ce que tu as vécu peut devenir une ressource (oui, même ça)

Une séparation, une décision foireuse, une période où tu ne te reconnaissais plus ?
Pas la peine de tout jeter. Ce sont des graines. Et si tu arrêtes de les enterrer sous la honte, elles peuvent pousser.

Tu peux transformer tout ça en force en :

  • voyant ce que tu as appris, même sans le vouloir,

  • repérant les vieux schémas à briser,

  • faisant la paix avec l’ancienne toi,

  • choisissant ce que tu veux vivre maintenant.

Prescilia t’aide à regarder ton passé avec bienveillance. Et là, tu passes du fardeau… à la boussole.

Des prises de conscience qui changent tout

Parfois, il suffit d’un déclic. Ce n’est pas spectaculaire, mais ça change la façon dont tu te regardes.

En séance, Prescilia entend souvent :

  • Je n’avais pas écouté mon intuition… mais elle parlait déjà.

  • J’ai fait passer les autres avant moi, par peur de décevoir.

  • Ce que j’ai vécu n’était pas ma faute, mais je peux écrire la suite.

  • J’ai le droit de changer d’avis, même sur moi-même.

  • Je mérite un présent qui me ressemble.

Et toi, qu’est-ce que tu pourrais apprendre de tout ce que tu as traversé ? Si la question t’ouvre un peu… c’est peut-être le bon moment.

Oser faire autrement : un premier pas vers soi

Ce que tu peux changer sans tout chambouler

Pas besoin de changer de prénom ni de partir vivre en yourte (à moins que ce soit ton rêve).
Faire autrement, c’est souvent plus simple — et plus puissant.

Dire non au lieu de peut-être.
Faire une pause au lieu de foncer.
Choisir ce qui te fait du bien, sans attendre la validation des autres.

Ces petits ajustements, bout à bout, peuvent vraiment tout changer.

Ce que Prescilia a changé, et ce que tu peux changer aussi

Prescilia aussi a connu les « sois parfaite », « ne dérange pas », « fais ce qu’on attend de toi ».
Aujourd’hui, elle accompagne des femmes qui en ont marre de rejouer les mêmes scènes… sans fin.

Elle ne te promet pas une vie parfaite à la Instagram.
Elle t’aide à construire une vie qui te ressemble, ici, maintenant. Avec qui tu es. Pas avec ce que les autres attendent.

Des petits pas pour faire autrement (sans tout casser)

Tu n’as pas besoin de tout révolutionner. Quelques ajustements peuvent tout changer :

  • Dire non sans te justifier.

  • Écouter ton ressenti, pas juste ta to-do list.

  • Prendre une heure pour toi… sans culpabilité.

  • Te demander « De quoi j’ai besoin ? » au lieu de « Qu’attend-on de moi ? »

  • Te parler comme à une amie, pas comme à une stagiaire en stress.

À chaque petit pas différent, tu reprends du pouvoir. Et ça, c’est déjà énorme.

Tu n’as pas besoin de tout savoir pour commencer

Ce n’est pas grave si tu n’as pas tout compris, ou si tu te dis « Ce n’est pas le bon moment. »
L’essentiel, c’est que tu sois là, en train de lire, avec l’envie que ça change.

Prescilia t’accompagne à ton rythme, avec tes mots, tes silences aussi.
Avec un ebook, un audio d’hypnose, ou un accompagnement sur mesure, tu peux faire ce premier pas. Tranquillement. À ta façon.

Et si c’était ton moment de faire autrement ?

Tu n’as pas à tout faire seule (et heureusement)

On t’a peut-être fait croire que demander de l’aide, c’était un échec.
Mais non. C’est comme allumer un GPS quand tu tournes en rond : c’est du bon sens, pas de la faiblesse.

Prescilia ne fera pas les choix à ta place.
Mais elle peut t’aider à clarifier ce qui bloque, faire le tri dans tes pensées, et oser faire autrement, en douceur.

Coaching, hypnose, EFT : sans chichi, ni charabia

Pas besoin de connaître le nom des chakras ou la définition de « restructuration cognitive » pour avancer sur toi.

Avec Prescilia, tout reste simple et humain :

  • Le coaching, pour poser tes objectifs et avancer pas à pas.

  • L’hypnose, pour parler à cette partie de toi qui comprend tout… mais ne parle qu’en images.

  • L’EFT, pour aider ton corps à lâcher ce que ta tête rumine.

Et tout ça, sans tambour ni gong tibétain. Promis.

Les ressources de Prescilia pour commencer tout de suite

Pas besoin d’attendre le moment parfait (il existe surtout dans les pubs de café).

Tu peux déjà :

Tout est dans la boutique du site. Pensé pour toi, avec tes doutes, ta force, et ton envie de te libérer du poids du passé.

Ce que tu gagnes quand tu regardes ton passé autrement

Une légèreté qu’on ne t’avait jamais promise

Quand tu arrêtes de porter ton passé comme une armure ou une punition, quelque chose s’ouvre.
Pas un miracle. Juste un souffle. Un ouf. Ce moment où tu te dis : « C’est derrière… et moi, je suis là. »

Regarder ton passé autrement, ce n’est pas l’oublier. C’est lui donner une autre place, plus paisible. Et surtout, utile.

Une vraie confiance (pas celle des post-it)

Tu as peut-être déjà essayé les mantras sur le miroir ou les listes de gratitude. Mais la vraie confiance, elle vient quand tu réalises tout ce que tu as déjà traversé.
Tu es encore debout. Peut-être cabossée, mais debout.

Prescilia t’aide à retrouver cette force-là. Celle qui ne s’écrit pas en majuscules, mais qui s’ancre profondément.

Le droit d’écrire un nouveau chapitre (sans te justifier)

Il n’est jamais trop tard. Trop vieille, trop installée, trop « c’est comme ça » ? Ces étiquettes-là, tu peux les décoller. Et les brûler. Et les fumer si ça te fait du bien, on ne juge pas.

Tu as le droit de changer. Pas parce que tu as échoué. Mais parce que tu as appris.

Et si tu as besoin d’un carnet, d’une voix douce dans les oreilles ou d’un accompagnement bienveillant pour commencer ce nouveau chapitre… tu sais où chercher. (Indice : la boutique de Mademoiselle S’Aime. Mais tu l’avais senti, non ?)

Et toi, qu’est-ce que tu ferais différemment aujourd’hui ?

Peut-être que tu as lu ces lignes en hochant la tête. Ou en pensant à cette version de toi qui a trop encaissé sans rien dire.

Certaines phrases t’ont peut-être parlé, d’autres un peu moins. C’est normal. Mais si tu devais retenir une chose : tu as le droit de regarder ton passé autrement, et surtout, le pouvoir de faire différemment maintenant.

Et tu n’as pas à le faire seule.

Par quoi commencer ?

Prescilia a créé des ressources simples et accessibles :

  • Des ebooks, pour t’accompagner page après page.

  • Des audios d’hypnose, pour déposer ce qui pèse.

  • Et bientôt, un accompagnement individuel, rien que pour toi.

Pensés pour toi, la femme qui doute, qui ressent, et qui sent qu’il est temps… de choisir autrement.

Et si on continuait la conversation ?

Ce site, ce n’est pas qu’une vitrine. C’est aussi un espace pour partager.

Tu peux :

  • laisser un petit mot sous l’article, même juste « Coucou, moi aussi »,

  • l’envoyer à une amie qui aurait besoin d’un coup de lumière,

  • ou écrire à Prescilia pour lui dire ce que ça a réveillé en toi.

Elle lit tout. Elle répond dès qu’elle peut. Toujours avec cœur.

Parce qu’au fond, il ne s’agit pas de regrets, mais de choix à venir.
Et peut-être que dans quelques mois, tu te diras :
« Avec le recul… j’ai bien fait de cliquer ce jour-là. »

Écouter son intuition : un art à maîtriser

Écouter son intuition : un art à maîtriser

Écouter son intuition : retrouver cette sagesse en soi

par Christophe Grégoire, rédacteur web pour Mademoiselle S’Aime


Tu as déjà ressenti ce petit frisson dans le ventre, cette sensation bizarre mais évidente qui te dit « fais-le » ou « surtout pas » ? Voilà. Tu viens, sans le savoir, d’écouter ton intuition — ou du moins, elle a tenté une percée entre deux factures à payer et trois messages non lus. Pas mal, non ?

Écouter son intuition, ce n’est pas réservé aux décisions de vie ultra-spirituelles ou aux discussions à rallonge autour d’un tirage d’oracle. C’est un super-pouvoir que tu as déjà, et qui peut t’aider à faire des choix plus justes. Au quotidien. Même pour décider si tu prends un thé ou un café (l’intuition vote souvent pour le thé, mais c’est très personnel).

Le truc, c’est que dans le bruit ambiant — infos, notifications, injonctions à “réussir ta vie” et autres joyeusetés — cette petite voix intérieure est souvent reléguée au second plan. Ou carrément bâillonnée dans un coin. L’objectif ici, c’est de lui redonner la parole. De t’apprendre à faire confiance à ton ressenti, à repérer les signes de ton intuition, et surtout, à te reconnecter à toi.

Tu verras : avec un peu de pratique, tu peux développer ton intuition au quotidien. Elle est comme un muscle (mais sans courbature). Et si tu as besoin d’un coup de pouce pour y voir plus clair, elle est là. Elle ? Oui? Oui, Prescilia, travaille seule chez Mademoiselle s’Aime, et elle accompagne des femmes comme toi à retrouver leur boussole intérieure. Pas à pas, et toujours avec bienveillance (et parfois une tasse qui dit « J’❤️ Mademoiselle s’Aime », mais c’est facultatif).

Alors, installe-toi confortablement, respire un bon coup… et laisse-toi te transporter dans ce guide pour retrouver cette sagesse en toi. Tu vas voir, ça va te parler — parfois même sans mots.

Qu’est-ce que l’intuition, exactement ? (et pourquoi elle te connaît mieux que toi)

Deux femmes en pleine discussion après un pique-nique, tasse "J’❤️ Mademoisellesaime.com" entre elles — écouter son intuition avec humour et simplicité

— Sérieux, tu vas vraiment suivre ton intuition pour ça ?
— Elle a dit “oui”, et ma salade aussi.

Tu crois peut-être que l’intuition, c’est juste un vague pressentiment, un « truc de sorcière » ou un concept réservé aux gens perchés qui dorment avec des cristaux sous l’oreiller. Mais en réalité, ton intuition, c’est tout simplement une forme de connaissance directe, instantanée, qui passe par des chemins détournés. Elle ne t’envoie pas un mail, elle ne prend pas rendez-vous : elle débarque, hop, sans prévenir. Et souvent, elle a raison.

C’est un peu comme si ton cerveau avait un raccourci ultra-secret qui te permettait de savoir les choses… sans passer par la case « réfléchir pendant trois jours ». Pratique, non ?

Instinct, peur, intuition… ou raison : qui parle dans ta tête ?

Alors oui, parfois, c’est flou. Qui parle ? Ton cœur ? Ton ventre ? Ton anxiété ? Ton mental en roue libre ? Ou ta grand-mère intérieure qui te juge depuis sa nappe en crochet ?
Allez, on fait un peu de tri :

  • L’instinct, c’est souvent une réaction immédiate, brute, liée à la survie. Il ne réfléchit pas, il te fait bondir, fuir ou geler. Très utile en savane face à un tigre. Moins quand tu choisis un dessert au resto.

  • La peur, elle, adore te faire croire qu’elle a raison. Elle hurle, dramatise, t’imagine sous un pont si tu oses dire non. Elle te fait consulter ton horoscope et ton banquier avant de bouger un orteil.

  • La raison, elle, fait des tableaux. Elle pèse, elle mesure, elle analyse. Elle adore les “objectivement” et les “rationalisons tout ça”. Elle est super précieuse… mais pas toujours très connectée à ton ressenti.

  • Et l’intuition ? Elle, elle chuchote. C’est une évidence douce, une sensation de « justesse », sans explication rationnelle. Elle n’argumente pas. Elle sait, c’est tout. Et ça se ressent.

En aparté, je t’invite à ce petit atelier d’écriture : Écouter son intuition ou suivre sa raison.

Alors comment les distinguer ?

Si tu sens que ton corps se détend quand tu y penses, que tu respires mieux, que tu te sens alignée même sans raison logique, c’est probablement ton intuition qui te glisse quelque chose d’important.
Si, au contraire, tu sens un pic de stress, un nœud, un débat intérieur façon talk-show… c’est probablement la peur ou la raison qui ont pris le micro.

Et tu sais quoi ? C’est totalement normal. On n’a pas eu de cours « Écoute de soi » au collège. Par contre, tu peux l’apprendre maintenant. Et franchement, c’est beaucoup plus utile qu’un contrôle de géométrie.

Le lien entre intuition, corps et ressenti

Ton corps est le premier à capter ce que ta tête ignore encore. Il t’envoie des signaux, tout le temps. Une boule au ventre ? Un frisson ? Une chaleur soudaine dans la poitrine ? Ce sont souvent des signes de ton intuition. Le corps sait. Il sait même avant toi.

Et c’est là qu’entrent en scène les outils que Prescilia utilise dans ses accompagnements : faire confiance à ton ressenti, reconnecter le corps et l’esprit grâce à l’hypnose, l’EFT ou simplement un peu de silence. Pas besoin de partir en retraite silencieuse dans l’Himalaya. Un carnet, un peu de temps, une vraie écoute… et tu vas voir que ton intuition va vite refaire surface.

Pourquoi tu n’écoutes plus ton intuition (et comment la société a brouillé tes capteurs)

Soyons honnêtes : ce n’est pas ta faute. Tu es née avec une boussole intérieure bien réglée, un GPS émotionnel dernier cri. Et puis… la vie est passée par là. L’école, les parents avec leurs « fais pas ci », les « sois raisonnable », les « tu verras plus tard », les « arrête de rêver », les tableaux Excel, les horaires de RER et les avis Google. Bref : le bruit du monde. Résultat ? Tu ne sais plus trop si c’est ton intuition qui parle ou ton stress qui hurle dans un mégaphone.

Quand ton mental fait du bruit, ton intuition se met en mode avion

Le problème, ce n’est pas que ton intuition a disparu. C’est juste qu’elle est coincée sous une pile de réflexes mentaux. Tu réfléchis à tout. Tu veux bien faire. Tu veux être sûre. Tu demandes cinq avis avant de décider. Tu regardes les pour, les contre, et tu oublies ce que tu sens, là, à l’intérieur. Tu vois où je veux en venir ?

La société adore valoriser la logique, la méthode, les tableaux de bord. Elle aime quand tu « gères ». Mais ton intuition, elle, n’aime pas trop les colonnes Excel. Elle aime le silence, la présence, la clarté.

Les blocages qui t’empêchent d’écouter (et comment les reconnaître)

Voici quelques « classiques » souvent rencontrés en séance :

  • La peur de se tromper : tu préfères ne rien sentir que de faire une erreur. Sauf que ne rien sentir… c’est déjà une erreur.

  • Le besoin de tout contrôler : tu veux une garantie, un mode d’emploi. Mais l’intuition, c’est le contraire du manuel IKEA.

  • La déconnexion émotionnelle : tu as tellement appris à ne pas pleurer, ne pas trop ressentir, ne pas déranger… que tu n’entends plus rien.

Et pourtant, dans les grandes comme dans les petites choses, ton intuition est une alliée précieuse pour tes décisions. Elle ne te promet pas la perfection, mais elle te rapproche de toi. Et ça, c’est déjà énorme.

Les signes de ton intuition : comment elle te parle sans mots

Ton intuition ne t’envoie pas de SMS. Elle ne crie pas non plus « Coucou c’est moi ! » au beau milieu du supermarché. Non, elle préfère les chemins détournés. Elle est discrète, mais elle insiste. Et plus tu lui ouvres la porte, plus elle entre facilement. (Par contre, elle n’enlève jamais ses chaussures.)

Comment elle s’exprime vraiment (et pourquoi tu passes à côté)

Tu attends peut-être une révélation spectaculaire, une lumière divine, ou une voix caverneuse qui te dit « Choisis la gauche ». Mais l’intuition est plus subtile. Elle aime les signes. Par exemple :

  • Une bouffée de chaleur quand tu penses à une décision

  • Un frisson dans le dos, comme un « oui » corporel

  • Une sensation de légèreté dans la poitrine

  • Ou au contraire, un nœud au ventre quand tu insistes dans la mauvaise direction

Et parfois, ce sont des « coïncidences » qui s’alignent comme par magie : un article lu « par hasard », une amie qui t’appelle au bon moment, une chanson qui te file la réponse. C’est là, tout autour de toi, ces signes de l’intuition qui veulent juste te faire un clin d’œil.

Oui, tu les ressens… mais tu ne leur fais pas (encore) confiance

Et c’est normal. On t’a appris à penser avant de sentir. À vérifier, comparer, demander. Mais à quel moment t’a-t-on dit : « écoute-toi vraiment » ? Pas souvent, hein ?

Alors ici, on te le dis : fais confiance à ton ressenti, même s’il n’a pas de justificatif. Même si ça te semble fou. L’intuition ne vient pas toujours avec un PowerPoint. Elle est là, entière, immédiate. Et elle est précieuse.

5 pratiques concrètes pour écouter ton intuition au quotidien

Bon, maintenant qu’on a bien papoté sur le pourquoi, passons au comment. Parce qu’écouter ton intuition, ce n’est pas une affaire mystique réservée aux initiées. C’est comme muscler un talent que tu as déjà, même si tu l’as un peu laissé dans un coin avec ton abonnement à la salle de sport de 2018.

Voici donc cinq pratiques simples (et zéro perchitude garantie) pour développer ton intuition au quotidien.

1. Ralentis (sinon elle ne te suit pas)

Ton intuition n’aime pas la vitesse. Elle s’épanouit quand tu respires, quand tu marches sans but, quand tu regardes les feuilles bouger (oui, vraiment). Si tu fonces du matin au soir, elle reste planquée.

Astuce : une pause de 3 minutes les yeux fermés peut suffire à lui rouvrir la porte. Pas besoin de partir au Népal. (Mais si tu y vas, pense à moi.)

2. Tiens un carnet d’intuition

Pas un journal intime façon “Cher carnet, aujourd’hui j’ai mangé du quinoa triste”. Non, un petit carnet où tu notes tes ressentis, tes pressentiments, tes décisions spontanées… et ce qu’il s’est passé ensuite.

Tu verras vite des motifs, des confirmations, des signes de ton intuition. Et plus tu notes, plus tu renforces ta capacité à faire confiance à ton ressenti.

3. Pose une question… et attends la réponse (mais pas avec les bras croisés)

Pose une question claire : “Est-ce que ce choix est bon pour moi ?” Puis fais autre chose. Va marcher. Bois un thé. Étends ton linge. Va faire pipi. Et laisse venir la réponse sans forcer. Elle peut apparaître comme un mot, une sensation, une image… ou un silence qui dit tout.

4. Bouge ton corps, il sait

Ton mental veut des garanties. Ton corps, lui, sait avant toi. En séance, ça se voit tous les jours : quand tu te reconnectes à tes sensations, tu te reconnectes à ton intuition.
Que ce soit par une séance d’hypnose, une ronde d’EFT ou quelques minutes de respiration consciente, tu t’ouvres à un autre canal d’écoute.

Prescilia utilise ces outils dans ses accompagnements, mais tu peux déjà commencer par une chose simple : respirer et écouter comment tu te sens. Là, maintenant.

5. Crée ton rituel d’écoute

Ce n’est pas obligé d’être cérémonial avec chandelles et robe fluide (mais si c’est ton délire, fonce). Un rituel, c’est juste une manière à toi de dire : “je t’écoute”.

  • Une tasse chaude (à message si possible)

  • Une question posée à voix basse

  • Un petit moment sans bruit

Et hop, tu viens d’ouvrir l’espace pour ton intuition.

Tu as déjà tout en toi (sauf peut-être la tasse)

Si tu arrives jusqu’ici, bravo. Tu viens de passer un moment avec ton intuition, même sans t’en rendre compte. Tu l’as peut-être sentie frémir pendant que tu lisais, ou bien t’as eu envie de ressortir ce vieux carnet qui traîne. Dans tous les cas, quelque chose a bougé.

Écouter ton intuition, ce n’est pas devenir quelqu’un d’autre, ni suivre une méthode figée. C’est te reconnecter à toi-même, à cette voix douce (mais sacrément futée) qui sait ce qui est bon pour toi. Et si aujourd’hui, tu choisis de l’écouter un peu plus souvent — même juste cinq minutes —, alors c’est déjà énorme.

Prescilia est là si tu veux aller plus loin. Elle t’accompagne dans ce chemin-là, sans baguette magique ni mantra obligatoire, mais avec présence, humour, et beaucoup d’écoute.

Et si tu veux commencer dès maintenant, tu peux déjà :
– poser une question à ton intuition,
– respirer,
– et boire un thé dans une jolie tasse.
(Si elle dit « J’❤️ Mademoiselle s’Aime », c’est encore mieux. Elle a du goût, ton intuition.)

Cet article a été rédigé par Christophe Grégoire, de chez Castelweb.