
Surmonter un deuil amoureux et retrouver confiance en soi
Le deuil amoureux : ce moment où même tes chaussettes te jugent
par Christophe Grégoire, rédacteur web pour Mademoiselle S’Aime
Le deuil amoureux, ça ne prévient pas. Ça débarque sans frapper, ça t’installe une colocation émotionnelle envahissante, et ça te fait douter de tout : de toi, des autres, même de ta série préférée. Tu pensais avoir tourné la page, mais en fait, tu as juste changé de chapitre sans lire les notes de bas de page. Résultat : tu pleures devant les pubs de lessive, et ton miroir te regarde avec une pitié silencieuse.
Tu es peut-être en plein dedans. Ou en train d’essayer d’en sortir. Dans tous les cas, ce que tu ressens est légitime. Oui, même si tes proches te disent qu’“il faut passer à autre chose” ou que “ça va aller avec le temps”. Peut-être que la personne que tu as aimée était un homme. Peut-être que c’était une femme. Peu importe : tu as aimé, tu as perdu, et maintenant, tu fais face à un grand vide. Et franchement, ce n’est pas rien.
Prescilia le sait bien : traverser un chagrin d’amour, c’est souvent plus compliqué que ce qu’on voudrait admettre. C’est pour ça qu’elle propose des accompagnements pensés pour toi : des audios d’hypnose, des e-books bienveillants, des séances à distance, pour t’aider à te reconstruire après un chagrin d’amour, à ton rythme, sans pression, sans jugement.
Mais avant d’y arriver, il faut comprendre ce que tu vis. Et c’est ce qu’on va faire ici. Avec douceur, et sans langue de bois. Promis, on va parler de tes émotions post-rupture, de ce qui t’épuise, mais surtout de ce qui peut t’aider à aller mieux. Même si pour l’instant, tu n’en es pas encore convaincue.
Comprendre ce que tu vis : non, tu n’es pas “trop sensible”
Un tsunami d’émotions, c’est normal

“Il paraît que le plaid + thé + carnet, c’est la base de la résurrection émotionnelle.”
Un jour, tu ris. Le lendemain, tu pleures devant une vidéo de hérisson. Tu alternes entre fureur, nostalgie, espoir, et cette envie irrépressible d’envoyer le message de trop. Pas de panique : tu es parfaitement normale. Tes émotions sont en train de faire un grand ménage intérieur. Elles retournent les meubles, jettent tout par la fenêtre, puis se demandent pourquoi c’est le bazar.
Ce que tu ressens, c’est un vrai raz-de-marée. Et comme dans tout raz-de-marée, il y a de la casse. Mais ça ne veut pas dire que tu ne peux pas reconstruire après. Ça veut juste dire que pour l’instant, tu navigues à vue. Et c’est ok.
Ton cerveau en mode “survie affective”
Ton cerveau, lui, fait tout pour “comprendre”. Il rejoue les scènes, cherche des signes cachés, analyse chaque mot prononcé lors du dernier “on doit parler”. Il veut trouver une logique. Mais l’amour, comme tu l’as sans doute remarqué, n’a pas toujours de logique. Il y a pourtant des phrases simples pour calmer ton mental quand il tourne en boucle.
C’est pour ça que tu ressasses. Que tu revis. Que tu tournes en rond. Ce n’est pas parce que tu n’avances pas. C’est parce que tu digères. Et ça prend du temps. Mais bonne nouvelle : ton cerveau est une machine incroyable. Et il peut aussi apprendre à lâcher prise. (Oui, même le tien.)
Les grandes étapes du deuil amoureux (et pourquoi ça ne suit jamais un plan linéaire)
Tu espérais peut-être que le deuil amoureux suive un petit guide : étape 1, pleurer ; étape 2, yoga ; étape 3, sérénité. Eh bien non. C’est plutôt l’équivalent émotionnel d’un meuble livré en pièces détachées… mais sans plan de montage ni tournevis.
Phase 1 : Le choc (ou comment ton cœur s’éteint en deux secondes)
Le choc, c’est ce moment où tout bascule sans prévenir. Tu n’as pas eu le temps de te préparer. Une phrase, un silence, un message, et soudain : plus rien. Ton monde se fige. Ce que tu croyais solide vient de se fissurer sous tes pieds. Physiquement, tu peux te sentir comme paralysée. Le souffle court, le cœur qui cogne, ou à l’inverse, une sensation de vide total. Ton corps réagit à sa façon, souvent bien avant que ton cerveau n’ait compris ce qui se passe.
Ton cerveau rame, ton cœur bug
Mentalement, c’est le flou. Tu lis et relis. Tu cherches une faille logique, un malentendu, un mot oublié. Le cerveau, en mode alerte maximale, essaie de mettre du sens là où il n’y en a pas encore. Et c’est épuisant. Tu pourrais croire que tu vas pleurer, hurler, t’effondrer… mais non. Tu es juste figée. Comme si quelqu’un avait mis ta vie en pause, sans bouton « lecture » à portée de main. Ce silence intérieur, ce gel émotionnel, c’est une réaction de protection. Ton système interne essaie de ne pas imploser.
Phase 2 : Le déni (avec option “ce n’est qu’un break”)
Tu veux encore y croire
Tu te répètes que ce n’est pas vraiment fini. Que c’était une dispute, une pause, un moment de confusion. Tu t’accroches à ce petit fil d’espoir, même s’il est mince, même s’il griffe un peu ton petit cœur en compote. Ton esprit n’est pas prêt à enregistrer la rupture. Alors il invente des scénarios où tout s’arrange. Ce n’est pas de la naïveté, c’est un mécanisme de survie.
Le cerveau en mode scénariste romantique
Tu rejoues la scène, tu réécris les dialogues, tu corriges les silences. Tu imagines cette personne revenir, s’excuser, dire qu’elle a fait une erreur. Tu fais des plans dans ta tête. Tu projettes la réconciliation idéale, version comédie romantique de fin d’année. Et dans ton film intérieur, tout finit bien. Sauf que… ce n’est pas un film.
Les signes que tu veux voir
Tu interprètes chaque like, chaque “vu”, chaque phrase vague comme un signe. Tu te dis que s’il ou elle répond encore à tes messages, c’est qu’il y a peut-être une chance. Tu lis entre les lignes. Tu espères. Et ce n’est pas ridicule. C’est humain. Le déni, c’est ta façon à toi de te protéger du vide. De retarder l’inévitable.
Résister à la réalité, c’est aussi une étape
Tu n’es pas en train de fuir. Tu es en train de digérer. Accepter que c’est fini, c’est violent. C’est normal de le faire petit à petit. Ce que tu ressens n’est pas une erreur. C’est un passage. Et plus tu respectes ton rythme, plus tu pourras avancer ensuite, sans trahir ce que tu as vécu.
Phase 3 : La colère (parfois contre toi… souvent contre l’autre)
Tu montes en pression
Jusqu’ici, tu avais mal. Maintenant, tu es énervée. Contre l’autre, contre toi, contre le monde entier, parfois même contre le chat qui te regarde comme si de rien n’était. Il y a de la rage qui monte, et tu ne sais pas encore quoi en faire. Mais elle est là, et elle est bruyante.
Tu rejoues chaque scène. Tu repenses à ce que tu aurais dû dire. À ce que tu n’aurais jamais dû accepter. Tu t’inventes des répliques parfaites, cinglantes, que tu balances dans le vide, dans ta salle de bain ou dans ta tête. Tu listes les moments injustes, les silences pesants, les “je t’aime” tièdes. Et tu sens l’armure qui se forme.
La colère est là pour ça : te redonner un peu de pouvoir. Elle secoue, elle déborde, mais elle te sort de l’apathie. Tu n’es plus figée. Tu es en mouvement. Tu n’es pas encore guérie, mais tu es en réaction. Et ça, c’est un tournant.
Attention au boomerang intérieur
Parfois, la colère se retourne contre toi. Tu te traites de “nulle”, de “trop gentille”, de “pas assez ceci ou trop cela”. Tu repenses à tout ce que tu as fait. Tu te reproches d’avoir cru, d’avoir espéré. Stop. Tu n’as pas à t’auto-flageller. Tu as aimé. Tu as agi avec ton cœur. Et ce n’est jamais une erreur d’avoir aimé sincèrement.
La colère n’est pas ton ennemie
C’est une étape. Pas toujours agréable, mais nécessaire. Elle te montre ce que tu ne veux plus. Ce que tu ne toléreras plus. Ce que tu mérites. Elle te guide vers la reconstruction, même si, sur le moment, elle ressemble à un coup de gueule dans le vide.
Phase 4 : La tristesse abyssale (ou le combo mouchoirs/glace/playlist déprimante)
Tout te ramène à l’autre (même ton frigo)
C’est la phase où chaque objet devient un souvenir piégé. Une chanson ? Ça te ramène au premier rendez-vous. Une cuillère ? À ce dessert partagé un soir de février. Même ton shampoing te rappelle son odeur. Tu pleures sur ton coussin, dans ta voiture, au rayon légumes. Et parfois tu ne sais même plus pourquoi tu pleures. Tu es la tristesse.
Tu te sens vide, inutile, invisible
Il y a des jours où tu n’as pas envie de sortir du lit. D’autres où tu te lèves, mais tu traînes ton corps comme une valise trop lourde. Tu regardes ton téléphone dans le silence. Tu te sens seule, effacée, floue. Comme si quelqu’un avait appuyé sur “pause” dans ta vie mais avait perdu la télécommande. Tu n’es plus tout à fait là, mais tu n’es pas ailleurs non plus.
Et pourtant, tu avances (même si ça ne se voit pas)
Ce que tu vis là, c’est profond. C’est la désintoxication émotionnelle. Tu es en train de couper des liens, de digérer des souvenirs, de pleurer ce que tu espérais. C’est douloureux, mais c’est sain. C’est dans cette tristesse que tu vas peu à peu faire le tri entre ce qui t’a blessée et ce que tu veux garder.
Tu n’as pas perdu la partie — juste tes repères
Et si tu traverses une période floue, quand tu as l’impression d’avoir tout perdu, y compris toi-même, tu n’es pas en train de sombrer. Tu es en train de redescendre pour mieux remonter. Cette sensation de n’être plus “toi” est une transition. Elle fait place au vide… pour que tu puisses enfin y poser ta propre voix, tes besoins, tes désirs.
Tu peux aussi lire cet article si tu te sens justement au bord de toi-même. Il a été écrit pour des moments comme celui-là.
Pleurer ne signifie pas que tu vas mal
Pleurer, c’est relâcher. C’est ton corps qui aide ton cœur à respirer. Ne cherche pas à tout contrôler. Ne retiens pas. Laisse couler. Et si c’est tous les jours ? Alors c’est tous les jours. Jusqu’au jour où… un matin, tu n’en auras peut-être plus besoin. Et tu verras, ce matin-là, tu ne pleureras pas… mais tu souriras un peu.
Phase 5 : L’acceptation (tu ne sautes pas encore de joie, mais tu respires mieux)
Ce n’est pas un grand “bim”, mais un petit “tiens…”
L’acceptation ne vient pas en fanfare. Il n’y a pas de moment solennel où tu lèves les bras au ciel en criant « JE SUIS GUÉRIE ! ». Non. C’est plutôt discret. Parfois presque imperceptible. Tu réalises que tu n’as pas pensé à lui. À elle. À “vous”. Pendant deux heures. Puis une journée. Et tu te dis : tiens…
Tu recommences à exister pour toi
Tu te remets à faire des choses pour toi. Pas pour provoquer une réaction, pas pour prouver que tu vas bien. Juste parce que tu en as envie. Une balade, un carnet, un café avec une amie sans passer ton temps à parler de cette relation. Tu reviens doucement à toi, comme après un long voyage intérieur. Et ce retour, même timide, est magnifique.
Les souvenirs sont toujours là. Tu n’as pas effacé. Mais ils ne contrôlent plus ton humeur. Ils passent comme des nuages, parfois gris, parfois lumineux. Tu les regardes, tu les laisses filer. Tu n’as plus besoin de lutter. Tu n’es plus engloutie. Tu te tiens debout, même si c’est parfois bancal.
Tu ne redeviens pas celle que tu étais : tu deviens celle que tu es
C’est ça, l’après. Ce n’est pas un retour en arrière. C’est une évolution. Tu n’es pas la même. Et c’est ok. Tu es plus lucide, plus douce, peut-être un peu cabossée… mais aussi plus vraie. Ce que tu as traversé t’a ramenée à l’essentiel : toi.
Guérir d’une rupture amoureuse : les pistes qui font du bien (vraiment)
Tu t’attends peut-être à des conseils du type “prends du temps pour toi” ou “fais-toi un masque à l’argile et ça ira mieux”. Ici, on va faire mieux : on va parler de vraies pistes, accessibles, et qui ne te demandent pas de devenir une nouvelle personne, juste de t’écouter un peu plus.
Ton corps a son mot à dire (et il n’est pas toujours tendre)
Tu dors mal ? Tu as mal au dos, au ventre, à la tête ? Ton corps réagit, lui aussi. Il t’envoie des signaux. Il te dit “hé ho, j’ai besoin d’attention !”. Prescilia conseille souvent de commencer par des choses toutes simples : respirer profondément, marcher un peu, t’étirer. Rien d’extraordinaire. Mais parfois, c’est le minimum vital qui change tout.
Les mots qui apaisent (écrits, chuchotés ou criés dans ta voiture)
L’écriture peut t’aider à te reconstruire après un chagrin d’amour. Même si ce que tu écris ne ressemble à rien. Même si c’est moche, confus, plein de fautes. Ce n’est pas pour être publié. C’est pour que ça sorte. Et si tu ne sais pas par où commencer, tu peux lire ça pour t’inspirer et libérer tes émotions par les mots, même maladroits.
Et si tu veux aller plus loin, les audios d’hypnose de Prescilia peuvent t’accompagner dans ces moments où ton mental prend toute la place. Tu n’as rien à faire, juste écouter. Et parfois, ça suffit à te sentir un peu moins perdue.
Et l’estime de toi, dans tout ça ?
Après une rupture, tu peux avoir l’impression que tout est flingué : ton image, ta valeur, ton avenir amoureux. C’est faux. Mais c’est normal de le ressentir. Alors on commence doucement.
Quelques idées pour reconquérir l’estime de soi :
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Te rappeler une chose que tu fais bien (même si c’est cuire des pâtes al dente)
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Te dire « non » quand tu sens que tu t’épuises
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Te dire « oui » quand tu as envie de pleurer, de danser, de ne rien faire
Retrouver confiance en toi grâce aux outils de Prescilia
Tu n’as pas besoin de tout faire toute seule.
Tu as déjà tenu bon jusqu’ici, avec ton lot de larmes, de doutes, de rechutes… et de petits moments de calme aussi, peut-être. Alors maintenant, si tu veux poser un peu ce sac émotionnel trop lourd, il existe des choses simples, à ta portée, pour t’aider à souffler.
Et c’est exactement ce que propose Prescilia. Pas une méthode toute faite, pas un programme culpabilisant. Mais des outils doux, bienveillants, pensés pour toi — toi qui es encore au milieu du bazar affectif, toi qui n’as pas envie d’en parler à tout le monde, toi qui cherches juste un espace où respirer.
Des ressources créées pour t’accompagner, pas pour te changer
Prescilia a mis tout son cœur (et son expérience) dans des formats que tu peux utiliser à ton rythme, en toute autonomie.
Tu veux mettre des mots sur ce que tu vis ? Elle a conçu des e-books à remplir, qui t’aident à sortir ce que tu gardes en toi sans t’imposer de “faire bien”.
Tu as besoin de te poser, de t’apaiser, sans parler à personne ? Ses audios d’hypnose sont là pour ça : des séances guidées, que tu peux écouter dans ton lit, dans ton bain, ou même en cachette sous ta couette.
Tu veux une oreille attentive, un accompagnement sur mesure ? Elle propose des séances individuelles à distance, où tu peux être toi, vraiment toi, sans filtre ni faux sourire.
Ce ne sont pas des gadgets. Ce sont des moyens concrets de t’écouter à nouveau. Et c’est comme ça que tu commences, petit à petit, à reconquérir l’estime de toi.
Trouver ce qui te convient (pas ce qui “devrait marcher”)
Tu n’as pas besoin de cocher des cases. Ni d’entrer dans un moule. Ce que Prescilia propose, c’est justement de te reconnecter à toi-même, pas à une version idéalisée de “la femme qui va mieux”.
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Tu préfères écrire pour te libérer ? Les carnets-guides sont faits pour toi.
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Tu es plus auditive, plus intuitive ? Les audios d’hypnose vont t’aider à apaiser ton mental.
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Tu sens que tu tournes en rond et que tu as besoin d’une vraie présence humaine ? Elle est là. Pour une séance à distance, dans un espace où tout peut se dire — ou se taire, selon ce que tu veux.
Tu peux tester. Revenir. Laisser de côté. Revenir encore. C’est ça, le chemin. Il n’y a pas de ligne droite. Juste ton rythme.
Ce que tu peux espérer… vraiment
Tu ne retrouveras peut-être pas ta joie en sautant du lit demain matin. Mais un jour, tu verras : tu penseras à cette histoire — à cette personne — sans sentir ton cœur se serrer. Tu repenseras à toi, à celle que tu étais, et tu auras de la tendresse au lieu de la colère. De la fierté au lieu du jugement.
Parce que non, tu n’es pas restée à terre.
Tu n’as pas renoncé.
Tu as tenu, tu as avancé, même de quelques centimètres par jour. Et ça, c’est énorme.
Et si aujourd’hui tu lis ces lignes, c’est peut-être le signe que tu es prête. Pas forcément pour tout changer, mais pour recevoir un peu de soutien. Juste ça. Et ce “juste”, parfois, ça fait toute la différence.
Tu veux faire un pas ? Fais-le pour toi
Tu n’as pas besoin d’aller “bien” pour commencer à aller mieux.
Tu peux démarrer là, maintenant, avec ce que tu ressens, avec ce que tu es.
Tu peux télécharger un audio, commencer un carnet, ou simplement écrire à Prescilia pour dire : “Je ne sais pas par où commencer, mais je veux avancer.”
Et tu verras que tu n’es pas seule.
Tu verras que ce que tu vis mérite d’être entendu.
Et tu verras, surtout, que ce deuil amoureux peut devenir une renaissance.
👉 Découvrir les outils de Prescilia pour t’accompagner
👉 Lui écrire pour poser une question ou demander un accompagnement